Arnaud Upinsky
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Publié par verbe le 05/08/2013 18:00:00 (5299 lectures) Articles du même auteur

jsus_xx111008_400Par cette image j’accorderai

beaucoup de grâces;

que chaque âme

ait donc accès à elle.” —Jésus Miséricordieux



 

 

 

 

 


“Je donne aux hommes un Vase avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la Miséricorde.

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Ce Vase, c’est ce tableau, avec l’inscription:

"Jésus, j’ai confiance en Toi”  (Jésus)

 

"Ceux et celles qui ont une confidence à m'offrir sur ce site, en espérant que j'y répondre, je suis là et je vous attends"

—Jésus Miséricordieux.

 

 

NDLR:

ÉCRIVEZ-NOUS, adressez vos questions à cette adresse:

journalquebecpresse@gmail.com  

 

Les confidences seront publiées, dans l'anonymat ou pas, si vous le souhaitez.

 

 

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Le mercredi 7 août 2013
Voici un premièr témoignage venu du Québec
et qui requiert l'anonymat:
 

 

 "Je suis une enfant de DIEU

qui a choisi de s'abandonner à SA VOLONTÉ AMOUREUSE...

Depuis ce jour je savoure un bonheur inouï...

Je désire vous offrir ce merveilleux sentiment de

"se sentir compris et guidée par LUI"...

IL m'invite, à vous l’offrir, en vous partageant

SES lumières, qu'IL choisira de m'indiquer, pour votre propre cheminement...

 

IL vit en chacun de nous mais parfois nous

comprenons mal la route qu'IL nous invite à suivre...

 

IL vous offre de vous

guider à travers le petit

rien que je suis, sans LUI...

 

En SON NOM, donc, je vous invite à vous confier à LUI

et lorsqu'IL m'inspirera une réponse pour certains d'entre vous, je la publierai ici,

dans ce journal...

 

Je me dois de vous préciser que dans l'abandon à SA volonté, je n'aurai de

réponse qu'à SON heure...

 

Mais faisons LUI confiance et osons croire qu'IL veux manifester SON AMOUR pour chacun de vous…

 

Peut être, serais-je l'outil qu'IL choisira comme lumière dans votre vie...


          Moi, le petit rien, dans "LA MAIN et le COEUR DE DIEU"… " FIN

 ---------------------------------------------

 

1- Le jeudi 22 août 20113:

Je suis catholique pratiquant et quand je discute avec les non-pratiquants, ils me formulent toujours la même question: Si Dieu est infini, qu'il sait tout de notre vie, pourquoi a-t-il créer le bien et le mal, sachant d'avance que la majorté des hommes iront en enfer?

 

Certes, Dieu va nous dire de laisser à l'Éternel le secret de son temps, de ne pas être curieux des choses de l'au-delà. Encore là, la notion du mal est vient de Lui, de sa conception divine, ayant créé toute chese avant même la création de l'Homme, encore que l'Homme était même dans sa Pensée depuis toujours.

 

Que répondre à cette notion du bien et du mal? L'Homme n'a rien créé, n'a jamais pensé sans la Pensée de Dieu qui expose sa créature au bien et au mal.

Signé Petit Michel

 

1- Réponse:

 

"Si Dieu est infini, qu'il sait tout de notre vie, pourquoi a-t-il créer le bien et le mal, sachant d'avance que la majorité des hommes iront en enfer?"

Réponse...

 Dieu a d'abord créé les anges et les a amoureusement comblé. Mais l'un d'eux, "LUCIFER" a choisi de jalouser DIEU, désirant être aussi puissant que son créateur...

   

Dieu dans son AMOUR INFINI leur avait laisser le droit d' exercer leur liberté, c'est donc ainsi que le mal s'est créé...


Mais DIEU savait que cela se produirait et a permis que cet événement survienne afin que SES CRÉATURES (nous même) qu'IL s'apprêtait à créer, puissent elles-aussi LE CHOISIR LIBREMENT.

 Pensez-y, comment choisir sans choix entre le bien ou le mal...

 Notre PÈRE CÉLESTE nous invite à le choisir, LUI et SON INCOMMENSURABLE PAIX AMOUREUSE !!! 

Pour être disponible et agir en son NOM et ainsi, en être comblé au-delà de nos attentes..     

 Affectueusement, le "rien" heureux de l'être en LUI...     

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LE CHAPELET À LA MISÉRICORDE DIVINE

 

"Si l’on récite ce chapelet auprès d’un agonisant,

Je me tiendrai entre le Père et l’âme agonisante,
non pas en tant que Juge juste,
mais comme Sauveur miséricordieux” — Jésus à Soeur Faustine.

 

 


La maison de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde où, dans les années 1933 -1936  a séjourné sainte Faustine. C’est dans cette maison que le Seigneur Jésus lui a dicté
le chapelet à la Miséricorde Divine. Vilnius, rue Grybo 29.

 

(Le PETIT JOURNAL de sainte soeur Faustine) Vilnius, Lituanie “Vendredi 13.IX.1935.
 
Le soir, quand j’étais dans ma cellule, j’ai vu un ange, l’exécuteur de la colère de Dieu. Il était en robe  claire, la face rayonnante, une nuée sous les pieds, de cette nuée sortaient la foudre et des éclairs jusqu’à ses mains, et de sa main ils sortaient et touchaient seulement alors la terre. Lorsque je vis ce signe de la colère de Dieu qui devait frapper la terre, et surtout un certain endroit, que je ne puis nommer pour de bonnes raisons, j’ai commencé à prier l’ange, pour qu’il s’arrête quelques instants, et le monde fera pénitence. Mais ma demande n’était rien face à la colère de Dieu. (...) Au même instant, je sentis en mon âme la force de la grâce de Jésus qui habite mon âme; au moment où je pris conscience de cette grâce, à l’instant même je fus enlevée devant le trône de Dieu. (...) J’ai commencé à supplier Dieu pour le monde, par des paroles entendues intérieurement.
 
Alors que je priais ainsi, j’ai vu l’impuissance de l’ange qui ne pouvait accomplir la juste punition qui revient de plein droit aux péchés. Je n’avais jamais encore prié avec tant de force intérieure. Voilà les paroles par lesquelles je suppliais Dieu: Père Éternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Âme et la Divinité de Ton Fils bienaimé, Notre-Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier; par Sa douloureuse passion, sois miséricordieux pour nous.
 
 
Le lendemain matin en entrant dans la chapelle, j’ai entendu intérieurement ces paroles: Chaque fois que tu entres dans la chapelle, récite tout de suite la prière que je t’ai apprise hier. Lorsque j’ai récité cette priére, j’entendis ces paroles dans mon âme: Cette prière sert à apaiser Ma colère, tu vas la réciter pendant neuf jours, sur un chapelet, de la manière suivante: d’abord tu diras un NOTRE  PÈRE, un JE VOUS SALUE MARIE et le JE CROIS EN DIEU puis sur les grains du  NOTRE  PÈRE, tu vas dire les mots suivants: Père Eternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Ame et la Divinité de Ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus-Christ. En réparation de nos péchés et de ceux du monde entier; sur les grains du JE VOUS SALUE MARIE, tu diras les mots suivants: Par Sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier. A la fin tu réciteras trois fois ces paroles: Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel, prends pitié de nous et du monde entier” (PJ, 474-476).

Oh! Quelles grandes grâces J’accorderai aux âmes qui diront ce chapelet (...) Inscris ces mots, ma fille, parle au monde de ma miséricorde, que l’humanité entière apprenne à connaître Mon insondable miséricorde. C’est un signe pour les derniers temps, après viendra le jour de la justice. Tant qi’il en est temps, que les hommes aient recours à la source de la miséricorde, qu’ils profitent du sang et de l’eau qui ont jailli pour eux” (PJ 848).

 
“Récite constamment le chapelet que Je t’ai enseigné. Quiconque le dira, accédera à une grande miséricorde à l’heure de sa mort. Les prêtres le recommanderont aux pécheurs comme ultime planche de salut; même le pécheur le plus endurci, s’il récite ce chapelet une seule fois, obtiendra la grâce de Mon infinie miséricorde” (PJ  687).


LA PROMESSE DE GRÂCE
DE MISÉRICORDE POUR LES AGONISANTS

“Il Me plaît de leur accorder tout ce qu’elles Me demanderont en disant ce chapelet. Lorsque les pécheurs endurcis le réciteront, J’emplirai leur âme de paix et l’heure de leur mort sera heureuse. Écris cela pour les âmes affligées: Lorsque l’âme verra ses péchés et en mesurera le poids, lorsque se dévoilera à ses yeux tout l’abîme de la misère dans laquelle elle s’est plongée, qu’elle ne désespère pas mais qu’elle se jette avec confiance dans les bras de Ma miséricorde, comme l’enfant dans les bras de sa mère bien-aimée.(...)

 

Dis-leur qu’aucune âme faisant appel à Ma miséricorde n’a été déçue ni n’a éprouvé de honte. Je me complais particulièrement dans l’âme qui fait confiance à Ma bonté. Écris: Si l’on récite ce chapelet auprès d’un agonisant, Je me tiendrai entre le Père et l’âme agonisante, non pas en tant que Juge juste, mais comme Sauveur miséricordieux” (PJ 1541).

“A l’heure de la mort Je défends comme ma propre gloire chaque âme qui récite ce chapelet elle-même, (...) Quand on récite ce chapelet auprès de l’agonisant, la colère divine s’apaise, une miséricorde insondable s’empare de son âme” (PJ 811).

On récite cette prière sur un chapelet. Au début:

Notre Père qui es aux cieux, que Ton nom soit sanctifié, que Ton règne vienne, que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du Mal. Amen.

 

Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.

 

Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre. Et en Jésus Christ, Son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où Il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit Saint, à la sainte Église catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.

 
Sur les gros grains du Notre Père (1 fois):
Père Eternel, je Toffre le Corps et le Sang,
lAme et la Divinité de Ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus Christ.
En réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.
 
Sur les petits grains du Je vous salue Marie (10 fois):
Par Sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous
et pour le monde entier.
A la fin (3 fois):
Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel,
prends pitié de nous et du monde entier” (PJ 476).





Le Seigneur Jésus dit à Sainte Faustine: “Je désire que cette miséricorde se répande sur le monde entier par ton cœur. Que quiconque t’approchera ne te quitte pas sans cette confiance en Ma miséricorde que Je désire tant pour les âmes. Prie autant que tu le peux pour les agonisants, obtiens-leur la confiance en Ma miséricorde, car ce sont eux qui ont le plus besoin de la confiance et qui en ont le moins” (PJ 1777).

“Ma fille, aide-moi à sauver un pécheur agonisant; récite pour lui ce chapelet que Je t’ai enseigné. Lorsque j’ai commencé à recitér ce chapelet, j’ai vu ce mourant dans de terribles luttes et supplices. L’Ange Gardien le défendait, mais il était comme sans force devant l’immensité de la misère de cette âme. (...) Mais pendant que je récitais le chapelet, je vis Jésus, tel qu’Il est peint sur le tableau. Les rayons qui sortaient du Cœur de Jésus enveloppèrent le malade et les forces des ténèbres s’enfuirent, dans la panique. Le malade rendit calmement le dernier soupir” (PJ 1565).

 “Union avec les agonisants. Ils me demandent des prières; je peux prier, étrangement le Seigneur me donne un esprit de prière, je suis constamment unie à Lui. Je sens pleinement que je vis pour les âmes, pour les amener à Ta miséricorde, ô Seigneur; pour cela aucun sacrifice n’est trop petit” (PJ 971).

“Je suis souvent en relation avec des âmes à l’agonie, leur obtenant la miséricorde divine. Oh! Comme la bonté de Dieu est grande, plus grande que ce que nous pouvons concevoir. Il y a des moments et des mystères de la miséricorde divine à la vue desquels les cieux sont surpris. Que cessent nos jugements sur les âmes car la miséricorde divine envers elles est étonnante” (PJ 1684).

“La miséricorde divine atteint parfois le pécheur au dernier moment, d’une manière étrange et mystérieuse. A l’extérieur c’est comme si tout était perdu, mais il n’en est pas ainsi: l’âme éclairée par un puissant rayon de la grâce suprême, se tourne vers Dieu avec une telle puissance d’amour, qu’en un instant elle reçoit de Dieu le pardon et de ses fautes et de leurs punitions, et à l’extérieur elle ne nous donne aucun signe de repentir ou de contrition, car elle ne réagait plus aux choses extérieures.

 

Oh! Que la miséricorde divine est insondable. Mais horreur – il y a aussi des âmes, qui volontairement et consciemment rejettent cette grâce et la dédaignent. Bien que cela soit déjà l’agonie, Dieu miséricordieux donne à l’âme ce moment de clarté intérieure, et si l’âme le veut, elle a la possibilité de revenir à Dieu. Mais parfois il y a  chez les âmes un tel endurcissement, qu’elles choisissent consciemment l’enfer; elles font échouer toutes les prières que d’autres âmes dirigent vers Dieu à leur intention, et même les efforts de Dieu...” (PJ  1698).

“Oh! Combien nous devrions prier pour les agonisants; profitons de la miséricorde
tant que c’est le temps de la pitié” (PJ 1035).

“Ô vie grise et monotone, que de trésors tu recèles. Aucune heure ne ressemble à une autre, car la grisaille et la monotonie disparaissent quand je regarde tout avec l’œil de la foi.

 

La grâce qui m’est donnée à cette heure-ci ne se répétera pas à une autre. Elle me sera donnée à la seconde heure, mais ce ne sera plus la même. Le temps passe et ne revient jamais. Ce qu’il contient ne changera jamais, il est scellé du sceau pour les siècles” (PJ 62).

“...le Seigneur m’a fait connaître combien Il désire que l’âme se distingue par des actes d’amour, et je perçus en mon esprit combien sont nombreuses les âmes qui appellent: Donnez-nous Dieu, et le sang d’un apôtre a bouillonné en moi. Je n’en serai pas avare, mais je le verserai jusqu’à la dernière goutte pour les âmes immortelles, bien que peut-être physiquement Dieu ne l’exige pas, mais en mon âme cela m’est possible et non moins méritoire” (PJ 1249).

"Je désire parcourir le monde entier et parler aux âmes
de la grande miséricorde de Dieu. PRÊTRES, AIDEZ-MOI EN CELA..." (PJ 491).

“Dis à Mes prêtres que les pécheurs endurcis se repentiront à leurs paroles, lorsqu’ils parleront de Mon insondable miséricorde, de la pitié que J’ai pour eux en Mon cœur.
Aux prêtres qui proclameront et glorifieront Ma miséricorde, je donnerai une force extraordinaire, je bénirai leurs paroles et je toucherai les cœurs auxquels ils s’adresseront” (PJ 1521).




“Ma fille, regarde l’abîme de Ma miséricorde, honore et glorifie Ma miséricorde et fais-le de la façon suivante: rassemble tous les pécheurs du monde entier et plonge-les dans l’abîme de Ma miséricorde” (PJ 206).

“Pénètre Mes mystères et tu découvriras l’abîme de Ma miséricorde envers les créatures et Mon insondable bonté – et tu la feras connaître au monde. Par tes prières, tu vas être l’intermédiaire entre la terre et le ciel” (PJ 438).

"TU PRÉPARERAS LE MONDE À MON ULTIME VENUE" (PJ 429).

“Mon royaume sur terre est –
Ma vie dans l’âme humaine” (PJ 1784).



Sainte Soeur Faustine: “Lorsque je me suis plongée dans l’oraison et que je me suis unie à toutes les messes qui se célébraient à ce moment-là dans le monde entier, j’ai imploré Dieu par toutes ces saintes messes d’avoir miséricorde pour le monde et particulièrement pour les pauvres pécheurs qui à ce moment-là étaient en agonie. Au même instant j’ai reçu intérieurement la réponse de Dieu que mille âmes avaient obtenu grâce par l’intermédiaire de la prière que j’avais offerte à Dieu. Nous ne savons pas le nombre d’âmes que nous devons sauver par nos prières et nos sacrifices, c’est  pourquoi prions toujours pour les pécheurs” (PJ 1783).

“... j’accompagne souvent de bien loin une âme agonisante, mais ma plus grande joie est de voir la promesse de la miséricorde divine s’accomplir dans ces âmes. Le Seigneur est fidèle – ce qu’Il dit une fois, Il s’y tient ” (PJ, 935).


DON DE LA PRIÈRE

Dans l’union spirituelle avec sainte Faustine, nous désirons encourager les adorateurs
de la Miséricorde Divine à prendre un engagement de prière individuelle ou bien à participer à LA PRIÈRE INCESSANTE DU CHAPELET À LA MISÉRICORDE DIVINE
 pour obtenir la grâce de miséricorde pour les agonisants.

Chaque personne qui désire adhérer quotidiennement à la prière de la communauté des Apôtres de Jésus Miséricordieux auprès de la Congrégation des Soeurs de Jésus Miséricordieux peut devenir intercesseur. Nous croyons que de cette manière nous exaucerons le désir du Seigneur Jésus et nous contribuerons à l’acceptation confiante de la grâce du salut de la part des agonisants de nos familles et du monde entier.

Nous vous prions d’envoyer vos intentions de prière pour les agonisants à l’adresse

LA CONGRÉGATION DES SOEURS DE JÉSUS MISÉRICORDIEUX
ZGROMADZENIE SIÓSTR JEZUSA MILOSIERNEGO
ul. Kardynala Wyszynskiego 169
66-400 Gorzów Wlk. (Pologne)
e-mail: sanktuarium@jezuufamtobie.pl

Je prierai chaque jour du ...................... pour la période .......................................................
1 personne ........ famille ........... groupe de personnes ............ Congrégation Religieuse .............
Nom et prénom ............................................................................................................................
Adresse ........................................................................................................................................

On peut joindre un timbre postal pour recevoir un accusé de reception.



“...écris ceci pour nombre d’âmes qui, parfois, se font du souci de ne pas avoir les moyens matériels de faire un acte de miséricorde. Cependant, combien plus grand est le mérite de la miséricorde de l’esprit pour laquelle il ne faut avoir ni autorisation ni trésor, elle est accessible à toute âme. Si l’âme ne fait aucun acte de miséricorde quel qu’il soit, elle n’obtiendra pas miséricorde au jour du jugement” (PJ 1317).
(voir La vertu de miséricorde)



L’INDULGENCE PLÉNIÈRE
POUR AVOIR RÉCITÉ LE CHAPELET À LA DIVINE MISÉRICORDE

Document de Pénitencerie Apostolique du 12 janvier 2002.
On accorde l’Indulgence plénière aux conditions habituelles (Confession sacramentelle, Communion eucharistique et prière selon l’intention du Souverain Pontife) au fidèle qui, en Pologne, l’âme totalement détachée de tout péché, même véniel, récite pieusement le Chapelet à la Miséricorde Divine, dans chaque église ou chapelle ou en présence du Très Saint Sacrement, publiquement exposé ou conservé dans le Tabernacle.
Si ces fidèles, à cause d’une maladie ou pour une raison valable ne peuvent abandonner leur foyer mais réciteront le Chapelet à la Miséricorde Divine avec confiance et le désir de miséricorde pour eux-mêmes et de la manifester aux autres, pourront obtenir, aux conditions habituelles, l’Indulgence plénière. Ceci en observant les normes concernant “ceux qui ont quelque obstacle” comme il est indiqué dans les normes 24 et 25 de la liste des indulgences “Enchiridion Indulgentiarum”. Dans les autres circonstances l’indulgence sera partielle. Le présent décret a valeur perpétuelle, nonobstant toute disposition contraire.


 

    

 

 

 

       

  Suite des extraits tirés du site: www.faustine-message.com

 

(Le PETIT JOURNAL de Sainte soeur Faustine) Plock, Pologne “1931, le 22 février.
 
 
 
 
soeur_1Un soir, alors que j’étais dans ma cellule, je vis Jésus vêtu d’une tunique blanche,
une main levée pour bénir, la seconde touchait Son vêtement sur la poitrine. De la tunique entrouverte sur la poitrine sortaient deux grands rayons, l’un rouge, l’autre pâle. En silence, je fixais mon regard sur le Seigneur, mon âme était saisie de crainte, mais aussi d’une grande joie. Après un moment Jésus me dit: Peins un tableau selon le modèle que tu vois, avec l’inscription: Jésus, j’ai confiance en Toi.
 
(...) Je promets que l’âme qui honorera ce tableau ne sera pas perdue. Je lui promets aussi victoire sur ses ennemis dès ici-bas, et spécialment à l’heure de la mort.
(...) Je désire qu’il y ait une fête de la Miséricorde. Je veux que ce tableau que tu peindras avec un pinceau, soit solennellement béni, le premier dimanche après Pâques, ce dimanche doit être la fête de la Miséricorde. Je désire que les prêtres proclament Ma grande Miséricorde envers les âmes pécheresses. Qu’aucun pécheur ne craigne de M’approcher.
(...) Quand une fois, fatiguée par toutes les difficultés soulevées par le fait que Jésus
me parlait et me demandait de peindre ce tableau, je décidai fermement de demander au père Andrasz avant mes vœux perpétuels de me délivrer de ces inspirations intérieures et de me dispenser de peindre ce tableau. Après avoir écouté ma confession, le père Andrasz me répondit ainsi: Je ne vous dispense de rien, et il ne vous est pas permis de vous soustraire à ces inspirations intérieures, mais vous devez absolument parler de tout à votre confesseur, absolument, autrement vous tomberez dans l’erreur, malgré ces grandes grâces de Dieu. Pour le  moment, c’est à moi que vous vous confessez, mais sachez que vous devez avoir un confesseur permanent, c’est-à-dire un directeur de conscience. Cela m’affligea énormément. Je pensais que j’allais me délivrer de tout et voilà que c’était le contraire - un ordre formel de suivre les exigences de Jésus. A ceci s’ajoutait le tourment de ne pas avoir de confesseur permanent.
 
 
soeur_5_400.(...) Cependant la bonté de Jésus est infinie, Il m’a promis une aide visible sur terre
et peu de temps après, je l’obtins à Vilnius (Lituanie). Je reconnus cette aide divine en la personne de l’abbé Sopocko. Avant d’arriver à Vilnius, je le connaissais déjà par une vision intérieure. Un jour, je l’avais vu dans notre chapelle entre l’autel et le confessionnal. J’avais alors entendu une voix dans mon âme: Voilà l’aide visible pour toi, sur la terre. Il t’aidera à accomplir ma volonté sur la terre” (PJ 47-54).

La tâche que le Seigneur Jésus a assignée à soeur Faustine était humainement irréalisable parce qu’elle n’avait pas de savoir-faire fondamental dans le domaine des arts plastiques. Malgré cela, en s’efforçant à obéir à la Volonté de Dieu, elle a essayé de peindre le tableau elle-même mais elle n’a pas réussi. D’une part, les demandes pressantes du Seigneur Jésus pour que cette tâche soit accomplie et, de l’autre part, l’incrédulité des confesseurs et des supérieurs, ont énormément affligé sainte Faustine. Au cours de son séjour à Plock (trois ans environ) et ensuite à Varsovie,
elle a pensé sans cesse à la demande inaccomplie du Seigneur Jésus, d’autant plus qu’Il lui faisait sentir la grande importance, dans les dessins de Dieu, de cette tâche qu’Il lui avait demandé
de réaliser.

“Soudain, je vis le Seigneur qui me dit: Sache que si tu négliges la peinture de ce tableau et toute l’œuvre de la Miséricorde, tu devras rendre compte, au jour du jugement, d’un grand nombre d’âmes” (PJ 154).

Après avoir prononcé ses voeux perpetuels, soeur Faustine a été transférée au couvent de Vilnius (le 25 mai 1933). Ici, elle a rencontré l’aide qui lui avait été promise précédemment, le confesseur et le directeur spirituel, l’abbé Michel Sopocko qui s’est dédié à entreprendre une preuve
de réalisation des demandes du Seigneur Jésus.

“Guidé davantage par la curiosité de savoir comment allait être ce tableau que par la foi en la véracité de ces visions, j’ai demandé au peintre Eugène Kazimirowski de peindre ce tableau” (L’abbé Sopocko, Souvenirs).

Le tableau de Jésus Miséricordieux fut réalisé dans l’atmosphère de la présence de Dieu
– des expériences mysthiques Sainte soeur Faustine. L’abbé Sopocko a révélé partiellement
au peintre la mission de soeur Faustine et il l’a obligé à garder le secret. Ce peintre, apprécié
et parfaitement instruit (voir Kazimirowski), en réalisant le tableau de Jésus Miséricordieux a renoncé à sa propre conception artistique pour reproduire sur une toile, le plus exactement possible, ce que lui décrivait soeur Faustine. Elle venait dans son atelier une fois par semaine au moins, pendant une periode de six mois, indiquant les corrections nécessaires. Elle désirait que tableau de Jésus Miséricordieux soit exactement comme elle L’avait vu lors de sa vision.
Le fondateur de l’oeuvre, l’abbé Michel Sopocko, participa activement à la réalisation du tableau. A la demande du peintre, il posa revêtu d’une aube. Le temps passé ensemble à la réalisation
du tableau fut l’occasion  d’examiner plus profondément la signification des détails. C’est Jésus même qui résolvait les questions controverses. (PJ 299; 326; 327; 344). La conversation de soeur Faustine avec le Seigneur Jésus concernant le tableau terminé, fut très significative:

“A un certain moment, quand j’étais chez ce peintre chargé de peindre ce tableau, j’ai vu qu’il n’était pas aussi beau que l’est Jésus – j’en ai été beaucoup peinée, mais j’ai caché ma déception profondémend dans moncœur. (...) la mère supérirure resta en ville pour diverses affaires, moi je suis revenue seule à la maison. Je suis allée aussitôt à la chappelle où j’ai beaucoup pleuré. J’ai dit au Seigneur: Qui Te peindra aussi beau que Tu l’es? Soudain j’ai entendu ces paroles: Ce n’est ni dans la beauté des couleurs, ni dans celle du coup de pinceau que réside la grandeur de ce tableau, mais dans Ma grâce” (PJ 313).

De cette conversation émane la sincérité d’une personne dotée d’une grâce surnaturelle qui
dans ses expériences mystiques voyait la beauté du Sauveur Ressuscité (voir souvenirs – M. Sopocko).
Le Seigneur Jésus apparut maintes fois à soeur Faustine avec le même aspect qui était peint sur ce tableau (PJ 473; 500; 851; 1046; 1565). A plusieurs reprises, Il exigea que ce tableau soit exposé à la vénération publique. Cela prouve que le Seigneur Jésus avait accepté cette image en le sanctifiant avec sa présence vive.

Grâce aux efforts de l’abbé Sopocko, le tableau du Sauveur Miséricordieux a été exposé et vénéré publiquement pour la première fois à Vilnius dans la fenêtre de la galérie de la chapelle de Notre Dame de la Miséricorde à la Porte de l’Aurore (Ausros Vartai), depuis le 26 jusqu’au 28 avril 1935 durant la cérémonie solennelle de clôture du Grand Jubilé de la Rédemption du Monde.
Le dernier jour des célébrations et ce fut le premier dimanche après Pâques. Soeur Faustine participa à la messe et l’abbé Sopocko prononça une homélie sur la Miséricorde Divine, comme l’avait demandé le Seigneur Jésus. 

“Pendant trois jours ce tableau fut placé à la vue de tous et reçut les honneurs publics car il était placé à la Porte de l’Aurore, au faîte de la fenêtre, c’est pourquoi on pouvait l’apercevoir de très loin. A la Porte de l’Aurore, l’on célébrait solennellement, durant ces trois jours, la clôture du Jubilé de la Rédemption du Monde - 1900 ans après la passion du Sauveur. Je comprends maintenant que l’oeuvre de la rédemption est unie à cette oeuvre de la Miséricorde que le Seigneur exige” (PJ 89).

“Quand l’image fut exposée, j’ai vu le vif mouvement de la main de Jésus qui traça
un grand signe de croix.
Le soir du même jour, (...) je vis ce tableau survoler la ville
et cette ville était tendue de réseaux et de filets. Quand Jésus passa, Il coupa tous les filets...” (PJ 416).

Quand j’étais à la Porte de l’Aurore pour les cérémonie au cours desquelles le tableau a été exposée, j’assistai au sermon de mon confesseur (M. Sopocko); ce sermon sur la Miséricorde divine était le premier de ceux gue Jésus exigeait depuis si longtemps. Quand il commença à parler de cette grande Miséricorde du Seigneur, le tableau prit un aspect vivant et Ses rayons pénétraient dans les cœurs des personnes rassemblées, mais pas dans la même mesure, les uns en recevaient plus et d’autres moins. Mon âme fut inondée d’une grande joie à la vue de la grâce de Dieu” (PJ 417).

“Quand la cérémonie arriva à son terme et que le prêtre prit le Très Saint Sacrement pour donner la bénédiction, alors je vis Jésus exactement comme Il est représenté

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