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Publié par verbe le 12/06/2015 13:23:08 (1461 lectures) Articles du même auteur

sarah_45555_400_03  SÉRIES PORTRAITS — 1 
SARAH BARBIEUX
L'identité tzigane
 



sarah_3110  SÉRIES PORTRAITS — 1 

 

 

Sarah Barbieux... la pureté du style

qui envoûte: passion et mysticité.

 

PAR MICHEL CLOUTIER

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Journaliste, écrivain, éditeur du

JOURNAL QUÉBEC PRESSE

SAINT-PAULIN, QUÉBEC — Le vendredi 12 juin 2015

 

sarah_5_400_03Sarah Barbieux : une vraie rencontre, un coup de foudre dans la pureté radieuse de l'identité tzigane. C'est la femme, l'artiste d'une cause vivante sous l'effet engagé de sa différence existentielle.

 

Non seulement dans les coins très cachés de son cœur et de son art, mais également dans l'air libre de la fraternité humaine, porteuse des tables rondes et de tous les tête-à-tête inspirants.

 

 Sarah Barbieux offrent des chants en Romanès, accompagnée de sa fille Thaïs, d'où le livre ''Gitanes... de mère en fille'', lancé par sa mère aux Éditions Belle Feuille, (www.livresdebel.com) de Saint-Jean-sur-Richelieu. En vente partout dans la francophonie.

 

 

Une sorte de science que sa différence gitane, mais un acte tragique à travers le temps tourmenté des guerres inexpiables et inguérissables de haines civiles. Amour et haine s'entrechoquent, outragés d'un siècle à l'autre.

 

La voilà rescapée... et libre dans un constant désir de liberté

 

 

 

 

sarah_5656_03sarah_665_04Se confiant sereinement au Journal Québec Presse dans l'émoi d'un regard vertigineux sur son passé au destin brisé, une descente foudroyante aux enfers.

  

PHOTOS: Une douce lumière dans le regard féminin des deux stars: Marlene Dietrich, l'Allemande, et Sarah Barbieux, la Québécoise. Une grande force humaine, hypersensible et qui tient le coup, résistant à la fatigue, aux attaques et aux soucis.


 

La voilà, Sarah Barbieux, rescapée et libre, tout à fait libre aujourd'hui de se dire, sans aucune hantise, avec une agilité intellectuelle, étonnamment réconciliée, un caractère mystique même... une Sarah Barbieux miraculeuse, en habit de lumière et qui ne craint plus rien. Oh! Que non!

—Le passé ne me court plus après, dit-elle.


sarah_56455658_400_03Sa voix doucement chantante vise haut, les hautes notes du raffinement de l'esprit, de son esprit volontaire, endurci, remodelé par l'épreuve.

 

Un vouloir héroïque, mais sans faire souffrir les autres (!). Aucune hostilité non plus. Au contraire! Étant frappée par le destin, Sarah Barbieux occupe une place à part dans le bonheur.


 

Rien d'abstrait, cette place tressaille d'un inestimable trésor d'amour, de pardon et de foi à la rendre riche, belle et forte, au-delà même des honneurs. Sa vie triomphe ainsi dans une gracieuse charité en partageant son art de vivre dans l'arc-en-ciel gitan aux somptueuses motivations. Rien de pompeux, ni d'exténuant.


En constant désir de liberté

 


sarah_310975_02Elle va ainsi de grand cœur au bout d'elle-même, modestement, avec ses secrets métaphysiques au creux de l'âme, de son âme inviolable, ''en constant désir de liberté'', dit-elle justement.

 

Sa liberté? C'est l'art de durer qui accroche l'esprit (érigé en destin) pour survivre.

 

Cela devient un désir de durer comme dans la psyché québécoise formulée par le philosophe et sociologue Fernand Dumond dont le souffle descriptif de son oeuvre est une crise continuée, un essai perpétuel d'exister du peuple québécois dans cette mer anglo-saxonne nord-américaine.

 

 

Avec une ténacité insolite, Sarah Barbieux nous fait découvrir ce monde fabuleux, son monde méconnu, incompris, avec une liberté méthodique, inventive, digne des grands artistes de la scène et du théâtre depuis ses spectacles d'animation de rue.

 

 

Opération-tonnerre des journalistes

 

 

 

sarah_29292_400_02Même les journalistes en quête de lumière à leur tour, sont dans une sorte d'opération-tonnerre à traquer ainsi l'âme envoûtée des troubadours en ce nouveau siècle naissant.

 

PHOTO: L'art des masques à la Sarah. Elle les fabrique elle-même.

 

Une chasse souterraine à faire déclencher le drame métaphysique, énigmatique des gitans, de ces familles de Roma, nos frères humains, catastrophiquement déchus d'un siècle à l'autre, devenus corrupteurs aux yeux des biens-pensants d'hier; devenus aussi des anges rebelles à exterminer, le ciel à l'envers, nocturne, un mal-en-soi insolite, détraqué.

 

 

 

Oui, la philosophie du mal (le mal absolu) qu'il faut coûte que coûte inverser pour les insérer, ces peuples, enfin dans la hauteur suprême du Paradis, celui de la Justice autant humaine que divine. Et pour tous.

 

Une révolution des consciences

 

sarah_656565_400Quel programme lumineux à venir! Une révolution des consciences. Sarah Barbieux en éprouve l'urgence en publiant un ouvrage courageux sur l'identité tzigane,''Gitanes...de mère en fille''. Un livre de référence à se fabriquer de l'avenir normal, qui ne soit pas bêtement contre-nature, comme si être gitan était honteux, une faute originelle, une sorte de nécessité organique où le Temps et la Vie sont dans une sorte d'éruption volcanique. L'enfer!

 

Un tourment éternel


Mais l'évidence de la Liberté n'échappe à personne, ni aux marginaux à l'instinct parfois agressif que sont les nomades, les bohèmes, beatniks, vagabonds, hippies, punks, gothiques, Skinhead... Il semble que tout va de travers chez eux. Défigurent-ils l'ordre établi?

 

 

Sauf qu'ils ne faut pas les confondre aux vieux peuples gitans qui ont une identité ethnique unique dans l'histoire mondiale, mais sans territoire avec leur langue et leurs traditions.

 

 

sarah_161_400Mais que voulez-vous! De tout temps la modernité en fait bêtement des marginaux. Un tourment éternel.

 

Mais attention! Le mot moderne est à bannir, c'est un mot sans horizon, un mot passe-partout. Regardez : au temps d'Hitler, les tortionnaires hitlériens modernisaient la haine démentielle en créant les camps de la mort. Ce fut le génocide moderne des Tziganes, notamment. Aujourd'hui, la haine raciale se modernise, cette fois-ci dans les persécutions religieuses.

 

Dans cette évidence de la liberté

 

 

sarah_2332_400_02En fin de compte, dans cette évidence de la liberté, serait-ce l'allure qui compte? En se donnant de la classe et de la prestance sociale, l'heureux bourgeois vivant impérativement en régime de dogmatisation bourgeoise, ne saccage rien de son milieu.


Évidemment! Il est délicieusement en parfaite cohésion avec ses puissantes valeurs aux formules académiques, protocolaires, tandis qu'à ses pieds, les détestables marginaux se retranchent, refroidis, sans rayonnement social, comme mis en pièces, enfermés malgré eux dans un cachot, leur ghetto, contraints de se créer un monde à eux, mais tout provisoire, piétiné, incertain qu'il sera dans ces tribulations.


D'où la discorde civile, intestine, fratricide qui s'ensuit invariablement. Hélas! la marginalité fait toujours peur à devoir se dresser les uns contre les autres. La revanche des sociétés opposées tourne dans la haine antisémite. Une haine d'ailleurs immémoriale. Perversité massacrante d'une grâce à l'envers.


Et dire qu'on se tire encore par les cheveux en ce début du troisième millénaire. Pire! Les coupeurs de têtes s'activent dans les guérillas urbaines orientales.


 

Une grande liberté d'allure

 

sarah_111108_400_01Malgré tout, ayant cet art précieux de se donner une grande liberté d'allure, Sarah Barbieux évite la confrontation détonante des deux visions antagonistes. Et les mélanges explosifs. Elle évite le tragique, certes, et préfère expliquer, éduquer le grand public québécois par le jeu, la pédagogie, les spectacles novateurs de danse-théâtre au sein de la Troupe Caravane de Saint-Paulin en Mauricie, au nord de Trois-Rivières.


Un long travail de moine l'interpelle sans cesse,étant d'ailleurs l'ambassadrice culturelle dans la pathétique cause des Roma depuis 1998. C'est pour éviter la crise des malentendus devant le fardeau de la méchanceté qui éclate à la une des actualités mondiales. Une perpétuelle souffrance ontologique.

  

Sarah: le même regard depuis 40 ans

  

sarah_etr_sylvain_400Une entreprise familiale à battre des records, des performances culturelles diversifiées, expressément justifiées parce que fortement méritoires d'une action sociale pédagogique poussée dans cet art de vivre en état créatif. Sans glisser dans le piège des bêtes de cirques bien que les deux conceptions peuvent entretenir des relations de bon voisinage. Respectablement.

 

PHOTOS: Sarah et son compagnon Sylvain Chiasson, luthier et homme-orchestre resmarquable.

 

C'est l'heure de la gloire. Amoureuse de la vie et des êtres, Sarah Barbieux a le même regard sur elle que sur le monde depuis 40 ans déjà. Fatalité du destin. Regard concentré, sans fixation.

En mouvement perpétuel, transparent et rassurant en exaltant la culture gitane d'un numéro à l'autre de sa troupe familiale, au gré des multiples thèmes en tant qu'artiste multidisciplinaire où tout s'harmonise dans le libre jeu des forces expressives. Actrice, comédienne, danseuse, chanteuse, écrivaine, poétesse, en passant par la conception, la mise en scène, l'interprétation : masque, danse, musique, percussions, voix, costumes, etc.

 


sarah_4645_400_01Ouf! Voilà Sarah, privilégiée dans sa pleine liberté qui arrange tout, qui intercepte la Vie pour que le rayon divin de la Vérité puisse passer comme une instance suprême, un complément direct hautement moral à supprimer toutes les méchancetés entre les êtres.

 

Admirable philosophie à vous faire dormir en paix en dégustant cette ''mosaïque de légendes et de réflexions sur l'identité tzigane'', comme elle l'exprime dans son livre. Un moraliste attentif ajouterait que dans l'univers de Sarah Barbieux, c'est le règne de la Grâce, de la sainte échelle des mystiques et de l'ascension morale pour triompher des préjugés sociaux les plus tenaces.


La beauté de la vie en pleine lumière

 

 

Voilà la beauté de la vie en pleine lumière. C'est la pureté d'intention chez cette Dame, en règle avec elle-même.

 

L'élan tout spiritualisé en fait d'elle un personnage en haleine, scénarisé de théâtre sur les planches et de société sur les tribunes et dans la rue. Un événement culturel tissé de gloire gitane et qui fait boule de neige grâce aux tournées québécoises de la célèbre Troupe Caravane qui célèbre ses 35 ans cette année. Que du jaillissement avec des nouveaux chants en Romanès que Sarah offre au public.

 

 

En quête de ses racines

 

 

sarah_5710191_400_02Avant même de voir le jour à Paris en 1958, rien n'était filtré pour la petite et pure Sarah Barbieux : une naissance sans joie, sans extase d'amour (hormis ses parents), cruellement marquée par le passé honteux de ses origines gitanes. Les ténèbres.

Le mépris, le déshonneur et l'obsession haineuse martyrisaient la famille... et bien sûr, la communauté entière. Voilà une naissance brutale en pleine détresse. La première tendresse de l'amour se fit en secret. La vie? Une dureté souffrante. Une malédiction sur tout l'univers gitan.

—J'arrivai au monde, marquée avant même d'être née, par les stigmates du passé ''honteux'' de mes origines, confie-t-elle, meurtrie.

 

Acculée au silence, une épidémie dans l'air, un silence qui vous dévore l'intérieur et vous brûle et brûle les vieilles douleurs... Ce silence vous rend fuyant et insaisissable, la conscience effarouchée comme d'un fait naturel chez les gitans! Comment s'en évader? L'Art, la grande espérance contre les préjugés quotidiens extrêmement tendus. L'Art de la scène, le temps d'un éclair qui deviendra un terreau fertile pour la jeune Sarah.

 

Survient la guerre, les camps de concentration nazis où son futur père, le jeune Marcel âgé de 17 ans, va échapper à l'extermination des chambres à gaz. Rescapé miraculeux de ses bourreaux qui haïssent le genre humain dans la personne des gitans et des juifs.


Aux Ateliers du Chaudron à Paris


sarah_088_400_01À 19 ans, elle passe de la tristesse au bonheur en obtenant au cinéma, un rôle muet dans Molière d’Ariane Mnouchkine en 1977. Et pendant trois ans à l'abri des mauvaises inspirations, elle profitait d'une formation en théâtre à temps plein aux Ateliers du Chaudron de Paris, ainsi qu’avec le Bread and Puppet Theater, en plus de diverses collaborations avec des membres des troupes de Bob Wilson, de J.Grotowski et du Living Theater.

 

 

 

 

 

L'exil en Amérique française... le Québec!

 

 

 

sarah_353535_400_02Toujours en quête de ses racines dès sa jeunesse, Sarah cherchait dans cette obsession à les découvrir, sachant avec certitude que l'Inde en était le berceau.

Un exil sans retour s'amorçait en voulant laisser ''une France qui pesait lourd sur mes veines et nourrissait ma peine'', dit-elle. À 21 ans, c'est le coup de foudre, un Québécois entre dans sa vie, l'attire plutôt en Nouvelle-France, son futur asile, son refuge.

 Enflammé, le jeune couple débarque à Montréal.


Photo : Sarah et sa fille Thaïs sur scène... et sur la couverture.


Mais la fusion ne dure pas tellement longtemps. C'est la rupture. La parisienne, mince et belle, grande actrice sur scène, est bouleversée. En souffrance, tenant le coup avec opiniâtreté, elle prend sa revanche en lançant la Troupe Caravane en mai 1980. Une grande force humaine. Elle résiste à tous les chocs. La première présentation de danse et tambour se tient au Café Campus (Montréal) avec le groupe Abitibi et Richard Desjardins.

 

C'est la résurrection...

 

sarah_66_400Une puissance de travail fabuleuse l'attend. Mais l'aventure s'annonce merveilleuse avec, plus tard, son nouveau compagnon Sylvain Chiasson. C'est la résurrection, la joie! Elle est prête pour les grands jours à venir. Finis les brouillards du passé. Madame conserve depuis lors, sa belle fraîcheur en ses 57 ans (2015).

 

 Photo : Sarah, Thaïs et Sylvain en pleine lumière.

 

 

 

Une belle fébrilité du coeur

 

 

 

sarah_9889898_400Un personnage féminin très construit que celui de Sarah Barbieux. C'est dans la simplicité du cœur. Observez et admirez son visage : Une force d'âme Et quel tempérament! Son point fort.


La vie qu'elle dégage se confond dans l'art des cultures anciennes gitanes, jusqu'à tendre à l'exercice spirituel qui se fait souriant dans son regard. Sa vie intérieure est son point d'hon-neur. Les forces du destin en elle... promises à une longue existence. Qui en douterait? C'est le moment d'ouvrir d'autres horizons.


Sarah ne déguise pas la vérité. Sa belle fébrilité ne laisse tromper personne. Ses contacts cap-tivants se transforment en des liens durables. Et le plus souvent. C'est pourquoi elle évite les confrontations déplaisantes. Les relations pour-raient en souffrir.


Elle croit en son instinct


sarah_777777777777777_400Croyant en son instinct avec le vent en poupe, elle s'adapte aux situations inconfortables, cer-tes, devant des gens qui, hostiles aux gitans, la feraient marcher sur la corde raide. L'audace au rendez-vous. Sarah pourrait osciller entre le sublime de son art et l'explosif d'une riposte.


En fait, elle a une seule façon d'aborder la vie : en se battant pacifiquement en ouvrant ses horizons gitans au grand public. Et faire alliance avec l'Humanité entière! Elle a toujours dénoué ce qui la bouleverse, elle qui a connu tant de heurts. Car les humeurs maussades antipathiques des adversaires à jouer les trouble-fête, sapent les énergies et l'enthousiasme des ar-tistes. C'est connu.


Après avoir émergé d'un long couloir obscur depuis sa jeunesse, voilà qu'en 2015, Sarah fonctionne encore à plein régime, concentrée, patiente et frémissante, entourée et choyée par sa petite famille à célébrer la vie dans un grand coup de cœur au sein de la Troupe Caravane.

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LISEZ LE CV DE SARAH BARBIEUX. CLIQUEZ SUR:

http://www.troupecaravane.com/uploads ... 535/cv_sarah_barbieux.pdf

 

 COMPLÉMENT D'INFORMATION. CLIQUEZ SUR:

http://www.troupecaravane.com/  (La Troupe Caravane)

http://journalquebecpresse.org/module ... ?storyid=3432   (Article)

 

http://www.editionsdelexil.com/  (ÉDITIONS DE L'EXIL)

 

 

 

 

 


 

 

 



 

 

 

 

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