Arnaud Upinsky
Arnaud Upinsky

upinsky_656565_01

Sauvons Versailles

Arnaud Upinsky

jesus_image_01

fabriceaguillon_400

epopee_western

nouvellefrance

charles_bonneville

sttitebellefourche

andreperreault  

carmenhumphrey

marc_pembroke_400  

oldstylers_copie  

chretiensmagazine   

guybertrand  

linda_b._mullally_400
Yvon Labbé
Recherche
jean_cara_1111
Feuilleton Ida G.-Lebel (Mauricie, mon pays, mes amours)
ida
mokuenko
:
Publié par admin le 05/01/2009 21:50:00 (1351 lectures) Articles du même auteur

Plus de 5 000 personnes marchentarton1132661231147817
à Montréal pour soutenir Gaza




D'après El Watan, quotidien d'Alger

MONTRÉAL, QUÉBEC —
Malgré la température de -20 degrés qu’a connu Montréal hier dimanche et malgré le blackout des médias locaux(1), plus de 5 000 personnes ont marché pour soutenir les Palestiniens de Gaza sous le feu de l’armée israélienne depuis plus d’une semaine.



 À l’appel de divers organismes dont l’association des Québécois et Canadiens d’origine palestinienne, de l’association Voix juives indépendantes, de Solidarité pour les droits humains palestiniens et Tadamon, plusieurs milliers de marcheurs de différentes origines ont arpenté plusieurs kilomètre de la métropole québécoise, (cet État-nation francophone d'Amérique de 8 millions d'habitants. NDRL Québec-Presse).


La marche qui s’est ébranlée vers midi et demi a sillonné la rue Sainte Catherine, une artère commerciale très fréquentée de la métropole québécoise, en marquant une halte au bas de l’immeuble abritant le consulat d’Israël.


Les marcheurs dont une majorité était originaire du monde arabe ont dénoncé la réaction du gouvernement conservateur canadien qui, à l’image de l’administration américaine, est acquis à la politique israélienne. Les slogans allaient de « libérez Gaza », « Solidarité avec le peuple palestinien » à « Israël terroriste, Harper [le premier ministre fédéral canadien, NDLR] complice ».

(1) — NDLR Journal Québec Presse : Le blackout des médias locaux ? Certes non.
Le correspondant du quotidien algérien est dans l'erreur. Les grands journaux tels que "La Presse" (175 000 exemplaires), "Le Journal de Montréal" (325 000 exemplaires), et "Le Devoir" (60,000 exemplaires), ont largement couvert la manifestation. À preuve, voici l'article de La Presse avec photo:37690_400   

Par Martin Croteau

10395
Reporter de fin de semaine à La Presse, Martin Croteau a étudié en histoire avant de bifurquer vers le journalisme. Il a travaillé à l'agence Reuters, au Soleil et à Global Television avant de se joindre à La Presse en 2007.


Des milliers de personnes ont manifesté au centre-ville de Montréal, dimanche après-midi, pour dénoncer l'invasion de la bande de Gaza par Israël et réclamer l'intervention d'Ottawa pour la paix au Moyen-Orient.

«Libérez la Palestine!», «Israël: terroriste, Harper: complice», «Viva l'intifada», ont scandé les protestataires, qui ont bravé un froid mordant pour sillonner les rues du centre-ville pendant près de quatre heures.


Parmi les centaines de drapeaux palestiniens, des photographies d'enfants palestiniens ensanglantés s'élevaient au-dessus des têtes. Certains ont brandi des souliers, clin d'oeil au journaliste irakien qui a lancé ses chaussures au président américain George Bush. D'autres ont brûlé le drapeau israélien, dont les cendres ont été piétinées par les marcheurs.


La contestation avait un sens particulier pour Yamen Bakr. Ce Montréalais d'origine palestinienne est en deuil. Ses cousins Mohammed, 24 ans, et Adahm, 25 ans, sont morts dimanche dernier lorsqu'un obus israélien s'est écrasé près de leur maison dans la ville de Gaza. Le jeune homme est descendu dans la rue pour exprimer sa solidarité avec les Palestiniens victimes du conflit.

 


«C'est la moindre des choses que nous puissions faire pour ces gens qui souffrent là-bas, a-t-il affirmé. Depuis deux ans, ils vivent en état de siège, dans la pauvreté, et personne ne leur vient en aide pendant les attaques.»

«Sous prétexte de tuer le Hamas, ils tuent des enfants, a renchéri Rachida Zbiri, une mère de famille. Comment des pays comme le Canada, qui sont des défenseurs des droits humains, peuvent-ils rester immobiles face à la mort de civils innocents?»


Jusqu'à 5000 manifestants


Peu avant 12 h 30, quelques centaines de personnes s'étaient rassemblées à l'angle de la rue Sainte-Catherine et de l'avenue Atwater, dans l'ouest du centre-ville. Le cortège a grossi de minute en minute et, très vite, on a pu évaluer la foule à près de 5000 personnes.


Le cortège a fait un crochet à Westmount pour passer devant le consulat israélien, lourdement gardé par les policiers. Il a ensuite pris le chemin du centre-ville. Rue Sainte-Catherine, des commerçants un peu médusés ont regardé les milliers de protestataires, pressés aux vitrines de leurs magasins désertés.


Quelques Juifs opposés à la politique étrangère israélienne se sont joints à la marche, mais la vaste majorité des manifestants étaient originaires des pays arabes.


Faire pression sur Ottawa


«Le but de la manifestation d'aujourd'hui est de faire pression sur le gouvernement canadien et ceux du monde entier afin qu'ils agissent pour mettre un terme à la souffrance des Palestiniens, a affirmé Leif Marouf, de Solidarité pour les droits humains des Palestiniens, l'un des groupes qui organisaient la manifestation. Plus les jours passent, plus le nombre de civils tués augmente.»


Vendredi, un rassemblement beaucoup plus petit a été le théâtre d'une prise de bec entre pro-palestiniens et partisans de l'État hébreu. Dimanche, une poignée de contre-manifestants brandissant des drapeaux israéliens se sont montrés au début du rassemblement, mais ils ont rapidement quitté les lieux. La police n'a signalé aucun incident fâcheux et personne n'a été arrêté.


Mais la présence de quelques éléments radicaux dans la marche en a indisposé plusieurs. On a notamment aperçu des étoiles de David comparées à des croix gammées nazies.


Israël diabolisé


Luciano Del Negro, directeur général de Québec-Israël, a assisté à la manifestation. Il s'est dit «profondément troublé» par son «caractère haineux». Il affirme que des «appels au meurtre des Juifs» ont été scandés en arabe.


«Les paroles scandées en français et en arabe sont toutes des slogans qui diabolisent et dévalorisent Israël, a-t-il déploré. Les protestations ne font qu'aider le Hamas à se légitimer.»


C'est le plus récent d'une série de rassemblements tenus un peu partout au Canada depuis le début des frappes à Gaza, le 27 décembre. Près de 300 personnes ont manifesté à Edmonton, 24 heures après les marches à Ottawa, Vancouver et Toronto.


----------------------
Qui sommes-nous ?

A propos d’El Watan
elwatanlogo_01

Le quotidien El Watan a été lancé le 8 octobre 1990, dans le sillage des réformes politiques, par vingt journalistes regroupés dans la SPA El Watan. Le tirage moyen est de 150 000 exemplaires par jour, avec un taux d’invendus de 12%. C’est la meilleure vente de la presse francophone.


Premier journal indépendant du matin à être édité en Algérie, il a basé sa ligne éditoriale sur un traitement objectif de l’information, en développant des analyses pertinentes, une vérification rigoureuse des informations publiées et un souci constant d’ouverture à l’ensemble des sensibilités politiques du pays, notamment celle de l’opposition démocratique.


El Watan est devenu également un lieu de débat et de réflexion pour les intellectuels algériens et une tribune permanente de discussion des questions de démocratie et des choix économiques et sociaux du pays. Pour toutes ces raisons, le quotidien a été frappé d’une suspension en janvier 1993 et six de ses journalistes, dont le directeur de la publication, ont été arrêtés et jetés en prison. Il a également été interdit de publication pour 15 jours en décembre 1994 et à deux reprises en 1996. Il a été interdit pour un mois en septembre 1998. Le harcèlement politico-judiciaire a été constant.

Le directeur de la publication est poursuivi pour plus d’une centaine d’affaires et plusieurs fois condamné à des peines de prison. En lui refusant l’accès à la publicité publique et institutionnelle, les pouvoirs publics ont tenté d’étouffer financièrement et commercialement El Watan qui a résisté grâce à la solide réputation, qu’il s’est façonnée auprès des opérateurs publics et privés. La SPA El Watan a créé une agence de publicité et participé à la mise sur pied de coopératives de distribution de journaux.

En partenariat avec le quotidien El Khabar, El Watan a acquis des rotatives à Alger, Oran et Constantine, qui lui ont permis d’améliorer substantiellement la qualité d’impression en introduisant également la couleur. Cette indépendance économique et industrielle a renforcé l’autonomie éditoriale du journal. El Watan s’est enrichi également, au plan éditorial, avec la publication de trois suppléments hebdomadaires (Economie, Télévision et Immobilier).
 
Le quotidien est distribué en Algérie sur l’ensemble du territoire national et également à l’extérieur du pays, comme la France, les Etats-Unis d’Amérique et le Canada...


Dans le panorama de la presse algérienne, El Watan se distingue par sa vocation à la fois nationale et régionale. Des rédactions régionales et locales ont été mises sur pied à travers l’ensemble du territoire national. Depuis quelques années, El Watan a fait le pari de l’information de proximité en lançant des éditions régionales pour l’est du pays à partir de Constantine, pour l’ouest du pays à partir d’Oran et pour la Kabylie à partir de Tizi Ouzou et Béjaïa.

Ces éditions s’étoffent régulièrement et s’intéressent à ce qui fait la vie concrète des Algériens. Le choix de donner une place importante aux informations nationales, aux questions de société, aux faits politiques, économiques, sportifs et internationaux et la réhabilitation de l’enquête et du reportage ont renforcé de manière substantielle la crédibilité et l’audience d’El Watan.


El Watan défend des valeurs qui prennent racine dans la promotion de la démocratie, la liberté d’expression, le respect des droits de l’homme et la justice sociale.


Depuis son lancement en 1990, El Watan est au service exclusif de ses lecteurs, malgré les entraves, les difficultés. Les épreuves imposées par le contexte politique qui n’ont pas eu raison de cette farouche détermination de poursuivre l’aventure intellectuelle.

El Watan s’impose, en matière de traitement de l’information, un respect scrupuleux des faits et des personnes, selon les règles de la profession. Le devoir de relater les faits, même ceux qui mettent en cause les plus puissants, a un prix. C’est le prix à payer pour que la liberté de presse ait un sens dans notre pays.

Omar Belhouchet
3 juin 2008


Note: 0.00 (0 votes) - Noter cet article -


Autres articles
16/01/2017 23:50:00 - Devoir
02/11/2016 16:30:00 -
02/07/2016 16:00:00 -
23/11/2015 16:35:29 - ATTENTATS DE PARIS: signe des temps
23/11/2015 15:59:14 -
07/11/2015 20:31:21 - LA SURVIE DES REVUES CULTURELLES
22/10/2015 16:51:36 -
18/10/2015 18:57:44 -
10/10/2015 17:17:21 - TROUPE CARAVANE: 35 ANS DE FONDATION
06/10/2015 15:20:00 -
22/09/2015 18:13:56 -
03/09/2015 19:20:00 -
03/09/2015 11:20:00 -
09/08/2015 17:15:06 -
27/07/2015 15:16:56 -
13/07/2015 15:30:54 -
03/07/2015 14:40:00 -
14/06/2015 13:06:34 -
12/06/2015 13:23:08 -
04/06/2015 21:50:54 -
04/06/2015 18:01:12 - MORT DE ''MONSIEUR'' JACQUES PARIZEAU
02/06/2015 23:30:00 -
02/06/2015 18:15:05 -
31/05/2015 15:08:18 -
30/05/2015 18:30:13 -

Pour lire l'évangile du jour, cliquez
ICI

DOSSIERS DE PRESSE

dossier_de_presse_01  
 
frederickmanns  
 
jesus_01
 
dossier_chaud_dieu_parle_copie 

lucie_01
zzzzzmichel_cloutier2_400

 

MICHEL CLOUTIER

contactez-le par courriel :
journalquebecpresse@gmail.com
 
 resiac
 
 martine_resiac_
 
 decl.indep_02

colettecoulombeimagefinal

doucetteimage

marie 032
 

L'art de l'organisation par Nathalie Bureau
fabienneguerrero002_120  

 

Carnets de chasse de Annie Perreault
Annie_perreault  

 

Lecteurs, lectrices du journal
Robert Deschamps

Robert Deschamps

Livres de Michel Cloutier
michelbiblio
michelbiblio
 
lamaisonsaintmichelimage  
 
courrielimage_copie