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: SUAIRE DE TURIN
Publié par verbe le 30/03/2013 14:40:00 (2110 lectures) Articles du même auteur

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—DOSSIER-CHOC—

Le Saint Suaire




 Par MICHEL CLOUTIER

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JOURNAL QUÉBEC PRESSE

TURIN, ITALIE — Le Samedi-Saint, 30 mars 2013

 

 

 saint_1_400saint_400Le suaire de Turin traverse les siècles comme si son mystère était destiné à l'homme d'aujourd'hui, à travers les signes historiques.

 

Renvoyé aux scientifiques qui le scrutent pour ajuster ce mystère à leur niveau, à la lourdeur de la matière qui n'en finira jamais avec leurs esprits matérialistes, le suaire est aussi carrément rejetés des athées, défaits par le mystère et finalement vénéré par ceux qui, dans la foi, y voient l'amour, la souffrance et la paix extraordinaire d'un visage noble, dont dépend la destinée de l'Homme sur terre.          

  DOSSIER-CHOC

Le Saint Suaire de Turin

 

 

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Expression extraordinaire 
du Saint Suaire

> Cité du Vatican, 30 mars 2013 (VIS)
Aujourd’hui, Samedi saint, de 17h15 à 18h40, en la cathédrale de Turin, sera exposé de façon exceptionnelle le Saint Suaire. Cette initiative a lieu dans le cadre de l’Année de la foi proclamée par le Pape Benoît XVI. Cette ostension sera retransmise par la RAI uno en mondiovision.
 
À cette occasion, le Pape François a adressé un message-vidéo dont voici le texte intégral: "Chers frères et sœurs, je me place, moi aussi avec vous devant le Saint Suaire, et je remercie le Seigneur qui nous offre cette possibilité avec les moyens d’aujourd’hui. Même si cela se fait sous cette forme, il ne s’agit pas d’une simple observation, mais d’une vénération, c’est un regard de prière. Je dirais davantage: c’est se laisser regarder. Ce visage a les yeux clos, c’est le visage d’un défunt, et pourtant mystérieusement il nous regarde, et dans le silence il nous parle. Comment est-ce possible? Comment se fait-il que le peuple fidèle, comme vous, veuille s’arrêter devant cette icône d’un homme flagellé et crucifié? Parce que l’homme du Suaire nous invite à contempler Jésus de Nazareth. Cette image –imprimée dans la toile– parle à notre cœur et nous pousse à gravir le Mont du Calvaire, à regarder le bois de la croix, à nous immerger dans le silence éloquent de l’amour. Laissons-nous donc rejoindre par ce regard, qui ne cherche pas nos yeux mais notre cœur. Ecoutons ce qu’il veut nous dire, dans le silence, en passant au-delà de la mort-même. A travers le Saint Suaire nous parvient la Parole unique et ultime de Dieu: l’Amour fait homme, incarné dans notre histoire; l’Amour miséricordieux de Dieu qui a pris sur lui tout le mal du monde pour nous libérer de sa domination. Ce visage défiguré ressemble à tant de visages d’hommes et de femmes blessés par une vie qui ne respecte pas leur dignité, par des guerres et des violences qui frappent les plus faibles… Pourtant le visage du Suaire communique une grande paix; ce corps torturé exprime une souveraine majesté. C’est comme s’il laissait transparaître une énergie contenue mais puissante, c’est comme s’il nous disait: aies confiance, ne perd pas l’espérance; la force de l’amour de Dieu, la force du Ressuscité vainc tout. Pour cela, contemplant l’homme du Suaire, je fais mienne, en ce moment, la prière que saint François d’Assise prononça devant le Crucifié: Dieu Très-Haut et glorieux, viens éclairer les ténèbres de mon cœur; donne-moi une foi droite, une espérance solide et une parfaite charité; donne-moi de sentir et de connaître, Seigneur, afin que je puisse l’accomplir, ta volonté sainte qui ne saurait m’égarer. Amen."
http://www.rai1.rai.it/dl/RaiUno/home_r1.html        JOYEUSES PÂQUES

L'ÉGLISE A RECONNU COMME AUTHENTIQUE
 LE 
SAINT SUAIRE, OFFICIELLEMENT DEPUIS SIXTE IV et encore en 1934
 PAR LA VOIX

DU PAPE PIE XI

par la prière indulgenciée suivante.
 (Indulgence plénière à gagner ce jour 4 mai, fête du 
saint Suaire)

 

Ô Seigneur, vous qui avez daigné laisser les traces de votre présence en ce monde et les gages indéniables de votre amour sur le très saint linceul dans lequel votre Corps adorable fut enveloppé lorsqu on le descendit de la Croix, ah ! par les mérites de votre Passion, et en considération de ce vénérable linge qui a servi à votre sépulture, faites-nous la grâce que, lorsque viendra le jour de la résurrection, nous devenions participants de cette gloire dans laquelle vous vivez éternellement. Ainsi soit-t-il.

Ainsi, après l’ostension de 1932, le pape Pie XI,  par un bref du 23 mars 1934, l’avait désigné comme « Relique », et même accordé une indulgence plénière à tous les fidèles qui prieraient devant le Linceul – ou devant une image d’elle – la belle prière suivante : 
« Ô Seigneur, vous qui avez daigné laisser les traces de votre présence en ce monde et les gages indéniables de votre amour sur le trèssaint Linceul dans lequel votre Corps adorable fut enveloppé lorsqu’on le descendit de la Croix, ah ! par les mérites de votre Passion, et en considération de ce vénérable linge qui a servi à votre sépulture, faites-nous la grâce que, lorsque viendra le jour de la résurrection, nous devenions participants de cette gloire dans laquelle vous vivez éternellement. Ainsi soit-il.» 
>
Les termes exacts employés par ce pape courageux furent : «Est accordée l’indulgence plénière pour le jour du 4 mai, fête du saint Suaire, et deux autres jours à leur choix pendant l’année, aux fidèles qui, s’étant confessés et ayant communié selon les intentions du souverain Pontife, vénéreront dévotement la relique ou l’image du saint Suaire en récitant la prière ci-dessus.De plus (est accordée) une indulgence de 500 jours chaque fois que l’on récitera la même prière avec un cœur contrit.» Voilà ce qui était clair face à tous les douteurs, détracteurs et contempteurs de l’ Église, de son message salutaire et de ses vénérables traditions et reliques. On ne peut pas s’empêcher de penser à cette Parole de Notre Seigneur : « Celui qui n’aura pas honte de Moi devant les hommes, Moi aussi, Je n’aurai pas honte de lui devant Mon Père. »
 
Les scientifiques eux-mêmes, devant l’écrasante masse de preuves matérielles de l’authenticité du Linceul de Turin, ont reculé d’un cran en admettant aujourd’hui la réalité terrestre de ‘l’homme des douleurs’ du Linceul, en ne contestant plus – comme jadis Ernest Renan et le monde scientifique à sa suite - son existence sur terre, mais en mettant en doute – comme le professeur Gérard Lucotte aujourd’hui – la divinité de cet homme réel. Pourtant le miracle du Linceul atteste le contraire. Il ne nous parle pas seulement de la Passion et de la Mort de Notre Seigneur (traces de sueur et de sang), mais aussi, de façon toujours plus abondante, de sa Résurrection (image ‘non faite de main d’homme’). Lors des travaux de réfection du Linceul de 2002 des photos de la face ‘arrière’ du Linceul ont pu être réalisées : elles révèlent que là aussi l’image du Christ existe, plus faiblement, mais réellement. L’analyse du professeur Giulio Fanti (université de Padoue) et de son groupe de recherche, à la suite des travaux du professeur Oswald Scheuermannn sur les effets de rayonnement, démontre que seule une immense décharge électrique venant du corps enveloppé par le Linceul pouvait laisser cette fine DOUBLE IMAGE superficielle que nous admirons et vénérons aujourd’hui, transformant ainsi le Linceul en extraordinaire témoin direct de la Résurrection.
 
Dans un monde qui s’enfonce dans le péché et la perversion, ce message concernant l’existence réelle de cet Homme divin, annonçant pour tous et pour toujours la possibilité du Salut, est essentiel. Les pèlerins de l’UNEC, lors de leur « pèlerinage aux Reliques du Christ » du 17 au 22 mai, s’agenouilleront devant cette vraie Relique de Notre Sauveur en rendant grâce à Dieu pour ce miracle accordé à notre pauvre monde.
  
Par cette prière indulgenciée, l'Église a donc proclamée comme authentique la relique insigne du saint Suaire.
> C'est bien l'image de Notre Seigneur Jésus-Christ qui s'est imprimée miraculeusement sur ce linge, preuve miraculeuse de la Résurrection.
> Cette image ne peut pas être qu' une simple icône sanglante, car si c'était une icône : 
> 1° Elle serait faite par un homme ;
> et 2° il serait donc possible d'en refaire une. 
> Nous mettons au défi qui que ce soit d'en refaire une copie avec toutes les preuves intégrées.
  Nous vous signalons une émission radio intéressante, l'interview d'Arnaud Upinsky, mathématicien, épistémologue, qui a dirigé le symposium de Rome sur le linceul de Turin en 1993 qui a conclu scientifiquement à l'authenticité du saint Suaire.
Ecouter l'émission très intéressante
Également cette émission paru sur ARTE 03 avril 2010 "Le Suaire de Turin : la nouvelle enquête", remettant en question la datation au carbone 14 :
Voir l'émission
http://linceuldeturin.info/html/demonstration.html
 http://pagesperso-orange.fr/gira.cadouarn/france/index_fr.htm
Avancées scientifiques


À l'occasion du 4° symposium scientifique international organisé par le Centre international d'études sur le linceul de Turin (Cielt) les 26 et 27 avril 2002 à Paris, une quarantaine de scientifiques et d'historiens ont fait le point sur l'avancée de leurs travaux sur la relique chrétienne la plus célèbre. Ainsi, les Italiens Gian-Maria Zaccone et Aldo Guerreschi ont parlé respectivement de la famille de Charny (propriétaire d'origine au XIV° siècle) et des brûlures du linceul. La communication de l'Américain Kevin Moran a porté sur d'éventuelles preuves physiques de la résurrection. Le Français André Van Cauwenberghe a traité de quatre grains d'encens. D'autres interventions ont permis de comparer les taches de sang du liceul de Turin et celles de la tunique d'Argenteuil...
>
> Renseignements au Cielt : 01.45.48.67.15

Secrétariat de l'Ostention du Suaire :
> VIA XX SETTEMBRE, 87
> 10122 TURIN
> Tél : +39 011 521 59 60
> Fax : +39 011 521 59 92
> e-mail : sindone@torino.chiesacattolica.it
>
> Informations sur le Saint Suaire, horaires, recherches, etc :
> Sindone official web site :
> http://www.sindone.org
> http://www.sindone.org/fr/welcome.htm   (en français)
> http://www.sindone.org/fr/ostens/ost2000.htm   (l'ostension)
>

Ostension du Saint-Suaire de Turin au printemps 2010

Benoît XVI a accordé cette ostension lors d'une visite du diocèse de Turin le 2 juin 2008 à Rome. La nouvelle a été accueillie avec joie par les quelque 7.000 pèlerins accompagnés de leur archevêque le cardinal Severino Poletto, au terme de l'année de la « Redditio Fidei », qui a mis le point d'orgue à la mission diocésaine lancée dans le sillage du jubilé. Ils ont offert au pape une reproduction du Suaire.
> Cette ostension sera, a dit le pape, « une occasion propice, j'en suis sûr, pour contempler ce mystérieux Visage, qui parle silencieusement au cœur des hommes, en les invitant à y reconnaître le visage de Dieu ».

LE SAINT SUAIRE : LES PREUVES SCIENTIFIQUES DE L'EXISTENCE DE DIEU
 Il y avait un conseiller, nommé Joseph, homme bon et juste,
> qui n'avait point participé à la décision et aux actes des autres; il était d'Arimathée, ville des Juifs, et il attendait le royaume de Dieu.
> Cet homme se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus.
> Il le descendit de la croix, l'enveloppa d'un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait encore été mis.
> C'était le jour de la préparation, et le sabbat allait commencer.
Évangile de Saint Luc 23:50-54
L'AUTHENTICITÉ DU LINCEUL DE TURIN
N'ÉTANT PAS UN ARTICLE DE FOI.
 
Le Sindone (mot italien du Grec s u n d o n = feuille, toile) n'est pas un article de foi. L' Église Catholique n'oblige personne à croire au Saint Suaire. L' Église oblige seulement croire les dogmes de foi étant des vérités révélées par Dieu. Le Saint Suaire n'entre pas dans la Révélation, ce qui n'implique pas qu'il n'est pas vérité. La même manière que ce qui est mathématiques n'entrent pas dans la Révélation, et ils sont aussi vérité.
> Dans cet article nous allons seulement exposer les faits objectifs que la science a révélés sur cette relique incroyable.
> Le Saint Suaire est la relique la plus étudiée de toute l'histoire. Une légion de scientifiques de très variées des disciplines l'ont étudiée. Ici sont les données qui ont apporté leurs recherches :
 
  Une pièce unique
 
  Le Sindon est une pièce unique au monde. Il n'est pas connu en toute l'histoire aucun autre objet de caractéristiques semblables. Il n'y a aucune trace dans toute la Terre d'un fait semblable dans aucune autre civilisation occidental, oriental, africain ou aborigène. Nous sommes incapables d'en faire une simple copie, même approximative, à l'heure actuelle.
 

  L'image imprimée sur le tissu est en fait un négatif et présente le corps martyrisé de Jésus vue à la fois de face et de dos avec des points de concordance rigoureusement exacts comme la marque des clous " entrée/sortie " qui ont transpercé les pieds du Seigneur.
 
L'image
> La série de tests ne fit apparaître aucun pigment, aucune trace de peinture. Mais elle établit la présence de sang à l'emplacement des plaies. L'image était superficielle, sa coloration ne pénétrait pas dans les fils; l'image ne touchait que les fibres supérieures de la trame du linceul sur une profondeur de l'ordre de 40 microns. Ce qui exclut toute imprégnation de liquides et par là même toute technique d'imprégnation pour l'image. Celle-ci est bien composée de " fibrilles jaunes ". La coloration est le produit d'une déshydratation de la cellulose d'origine inconnue faisant penser à une sorte roussissure provoquée par une source de chaleur.
Aucun " tracé directionnel " (coup de pinceau) ne fut identifié sur le linceul. A l'évidence, cette image n'avait pas de facture artistique. C'était un " négatif photographique " parfait, très détaillé.   Il faut s'éloigner de plus de 2 mètres du linceul pour pouvoir percevoir une image lisible et l'identifier comme étant une silhouette recto-verso d'un corps d'homme et c'est à 5 mètres que certains détails se révèlent au regard humain.> L'image imprimée sur le tissu est en fait un négatif et il aura fallu attendre l'invention de la photographie au siècle XIX pour le découvrir.

> Le support a été tissé selon une méthode propre aux régions proches de Jérusalem, à une époque contemporaine de Jésus-Christ, et contient quelques traces : d'une espèce de coton spécifique à la Palestine, sur un métier à tisser du type de ceux utilisés au siècle précédent la naissance de Jésus... (aucune espèce de coton ne poussant en Europe) et cependant, en conformité avec la Loi Mosaïque qui interdit le port d'un vêtement contenant des fibres provenant à la fois du monde animal et du monde végétal.

> L'origine et le mode d'impression de la coloration que l'on pourrait plutôt appeler pigmentation ne sont pas identifiables par les moyens techniques actuels. Des traces d'hémoglobine y sont pourtant décelées mais les fibres, soumises à un examen microscopique, ne sont " roussies " (pour employer un terme courant que dément cependant une procédure de réflectrométrie) que superficiellement, sans imprégnation ou même traces d'arrachement superficiel. Le roussissement apparent du tissu constituant l'image, principale caractéristique visuelle, n'a pas affecté les fibres des fils mais seulement et de manière sélective, des fibrilles, mesurables en quelques dizaines de microns.
>
>
> L'empreinte de l'Image n'existe pas sous ces tâches de sang comme si ce sang avait protégé le tissu !
>
>
> Aucune trace de colorants d'origine minérale ou organique (ou même de liquide en dehors du sang et de ses composants naturels révélés par le phénomène de la capillarité et de la pesanteur : l'image est superficielle, comme ceux habituellement utilisés par les peintres, n'a pu être trouvée.

> Les examens scientifiques ont prouvé que l'intensité des ombres est en concordance partielle ou totale avec la déshydratation des fibres de surface des fils qui constituent le tissu.
> L'image du linceul étant le résultat d'une projection verticale polarisante, cela exclut toute forme de rayonnement calorique car la chaleur s'exerce de façon omnidirectionnelle.
Toute œuvre peinte composée de main d'homme, c'est à dire manuellement accomplie, laisse apparaître après examen et traitement d'image, un sens d'exécution avec des points ou des zones de démarrage, des mouvements ou traces directionnelles que l'on dénomme " fréquences spatiales préférentielles ". Aucune de ces fréquences n'étant détectée par l'ordinateur, cela prouve qu'il s'agit d'un autre mode d'exécution que celle de la main d'un homme et ce fait lui vaut d'être une œuvre archéiropoiétique ! Le mécanisme de formation de cette image est donc " isotrope ", sans effet directionnel, excluant immanquablement une exécution manuelle, donc d'origine humaine. La postcolorisation d'images numérisées permet de révéler des détails supplémentaires.
>
> L'image ne traverse pas la toile de côté à côté. Sur une seule face du Suaire est imprimée l'image frontale et dorsale d'un homme flagellé, en "rigor mortis" et mort par crucifixion.
> L'image n'est pas peinte, ni imprimée, ni il existe des restes de pigments, ni colorants, ni soies de brosse, ni les grandes lignes de peinture, ni l'aucun matériel organique ajouté. Les taches de sang sont composées de hémoglobine. 
>
> L'Homme du Sindon est une image ténue et très détaillée d'un homme adulte avec des cheveux mi-longs et une barbe; d'un mètre et quatre-vingt-quatre à quatre-vingt-sept centimètres de stature, de constitution forte, musclée, entre 30 et 35 années, avec un poids de quelque 80 kilos ; de mains et de pieds longs ; une face sémitique avec les traces laissées par un chapeau complet d'épines et non une couronne , comme on pensait ; et une série de détails qui ont permis de renforcer l'histoire biblique de la crucifixion. 
>
> L'image coïncide avec la description du corps inerte Jésus de Nazaret après avoir souffert la crucifixion. Les evangiles parlent d'une toile dans laquelle a été à la hâte entouré Jésus après son décès - Vendredi Saint - pour ne pas rompre avec le repos sabbatique juif. Les juifs enveloppaient les cadavres avec des bandages, comme à Lazare. Mais avec le Christ ils n'ont pas eu du temps, parce qu'Il est mort aux trois heures de l'après-midi et fallait terminer la sépulture avant la nuit, parce que commençait alors le jour de fête avec interdiction totale de tout travail.
> Comme Nicodéme et Joseph d'Arimathée ont dû aller demander autorisation à Pilate pour emmener le cadavre, chercher les instruments et décrocher le Seigneur de la croix, l'après-midi finissait et ont rapidement dû l'enterrer en le couvrant avec le Suaire. C'est pourquoi après samedi, allaient les femmes terminer la sépulture.
> Le Sindon montre le tourment d'un jeune homme, avec des caractéristiques propres du groupe ethnique juif. Le sang correspond au groupe AB, le plus fréquent entre les hébreux.
>
> Il s'agit d'un homme qui a souffert hematidrose (sueur de sang), grands coups dans les genoux et le dos. Dans l'image on apprécie un minimum de 120 coups avec un fouet de trois cordes terminées en des boules d'acier. La face présente des grands coups aussi. Il a été couronné par un chapeau d'épines, de desquelles on apprécie 33 orifices. Ont pu être comptées en total plus de 600 blessures dans tout le corps. Toutes ont été produites en vie, à l'exception d'un grande blessée dans le flanc droit, qui a une forme elliptique du même diamètre qu'une lancea romaine ; et elle est arrivée à l'auricule droite du coeur.
>
> Il a été crucifié avec des clous qui ont traversé les poupées (non les mains) ; les pieds ont été ensemble traversés par un seul clou. Les médecins qui ont analysé la toile ont déduit qu'Il souffre des forts douleurs péricordiaux, oppression, et fièvre très haute, en mourant finalement d'asphyxie, n'ayant pas déjà de forces pour s'élever et respirer.
>
> On a essayé de reproduire l'image, mais les essais effectués avec des cadavres humains, moules incandescents et diverses substances ont fracassé. Les spécialistes concluent que l'efigie est provoquée par une espèce de radiation d'origine inconnue.
>
> L'image est en négatif, mais le sang qui a trempé la toile est en positif. 
>
> L'image de la Figure humaine doit être lue comme reflétée dans un miroir : ce qui est vu à droite se trouve en réalité à sa gauche et vice versa.
>
> L'image du Saint Suaire est un négatif photographique imprimé dans la toile, mais a deux caractéristiques très particulières par rapport à tout autre négatif : il est tridimensionnel et il n'existe pas d'unidirectionnelité.
>
> Le Saint Suaire est la seule "photographie" tridimensionnelle. C'est-à-dire, l'intensité des images est inversement proportionnelle à la distance qui sépare en chaque point la toile du cadavre "photographié".
>
> Le résultat a démontré que l'image latente était complétement tridimensionnel, et qu'il n'existait pas de lignes ni de directionnalité dans le dessin.
>
> Il est important de souligner la non-existence de directionnalité. Pour comprendre ceci il faut expliquer comme fonctionne une machine photographique. Le principe est celui de la chambre foncée : nous avons une pièce complétement fermée dans une dont les parois nous ouvrons un petit orifice par lequel il pénètre la lumière. Un objet situé hors de la chambre serait reflété, inverti, dans la paroi opposée à l'orifice. Celui-ci est le fondement des machines photographiques. Dans ces images il existe la directionnalité, c'est-à-dire, toute l'image est formée à partir des rayons de lumière qui viennent d'un seul point : les rayons lumineux qui entrent par l'orifice de la paroi.
> Il n'est pas ainsi avec le Sindon. Il n'existe aucun point focal à auquel converge l'image. La lumière qui a imprégné le Saint Suaire vient de toute la surface du Corps. Tout au plus proche était la toile au Corps, d'autant plus il a intensément brûlé par la radiation qui est soudainement apparue du Corps, en lui donnant son tridimensionnalité caractéristique.>
UNE IMAGE TRIDIMENSIONNELLE
Il a fallu attendre l'invention de l'ordinateur et de logiciels dédiés à l'aventure spatiale, avec la découverte de Bill Mottern en 1976 sur un " VP8 analyser ", de cette tridimensionnalité qui permet de révéler après un scanning de la surface du linge, une représentation en 3D de l'ensemble de l'image, due à l'intensité lumineuse. Ce qui signifie que la distance entre la peau du supplicié et la surface du linge, en dehors des parties imprégnées de sang, a été prise en compte et enregistrée à l'insu de la simple première approche visuelle. Cette tridimensionnalité n'existe pas, bien entendu, sur une photographie du type de celle que le grand public est capable de tirer avec les appareils classiques, aussi sophistiqués soient-ils. 
>
> L'étude confirma également l' effet de distance de l'image. La définition de la densité de couleur était bien en rapport avec la distance entre la toile et le Corps. Ce qui permit grâce à un appareil de la Nasa, le VP8 de confirmer les travaux précédents sur la " tridimensionnalité de l'image ". 
>
> Le Sindon a été étudiée par une légion de scientifiques, et la recherche continue. Le VP-8 est un appareil destiné à faire des recherches sur l'orographie des planètes sur les différents jeux de photographies. TEXTE À SUIVRE.

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