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  Melvin Doucette au secours de la
misère humaine (1)
1er DE 2 ARTCILES
Faisons connaissance avec...
Le Père Melvin DOUCETTE, mondialement renommé pour ses charismes de guérison, Acadien d'origine, de Tignish, Île-du-Prince-Édouard, Canada
ISIDORE GRAO... du matin, au midi... jusqu'au soir !
  
Correspondant français à Nice JOURNAL QUÉBEC PRESSE NICE — Le dimanche 10 octobre 2010
ISIDORE GRAO, Journal Québec Presse (JQP):
Bonjour Mon Père, merci d’avoir bien voulu accueillir le Journal Québec Presse à la demeure de Madame Paulette Vinet de Repentigny, en banlieue de MNontréal au Québec.
MELVIN DOUCETTE (MD): Bonjour. Soyez le bienvenu.
JQP : J’ai fait votre connaissance, en lisant, sur le web, votre biographie. Comment avez-vous reçu cet appel à Dieu ?
«Melvin! Melvin !»
MD : J’avais presque douze ans, et j’habitais avec mes parents sur l’Ile du Prince Edouard. C’était un dimanche. Le matin nous avions été à la messe.
L’après-midi je décide d’aller visiter un ami. Sur le chemin du retour, je traverse un bois. Il devait être 17 heures.
Quand tout à coup j’entends quelqu’un m’appeler : « Melvin ! ».
Je me retourne intrigué, je regarde autour de moi : Personne ! Je reprends mon chemin et la voix se fait plus insistante :
« Melvin, Melvin ».
Je demande alors à voix haute : « C’est qui qui m’appelle ? »
La voix me répond: « C’est moi, c’est Jésus. Un jour tu seras prêtre. » Et puis, puis plus rien. À ce moment-là, je fus convaincu qu’un jour je recevrais la prêtrise.
À tout jamais, ces paroles sont restées gravées dans mon coeur. Je ne les ai jamais oubliées. Mais, dès lors, je connaissais la finalité de ma vie.
JQP : Vous êtes natif d’une province anglophone ? MD : Nous, les Acadiens, nous appelons cette région l’Acadie. Ce sont les français qui au début du XVIe siècle ont découvert cette île, l’Île-du-Prince-Édouard, ou encore la Nouvelle-Écosse.
Les Français vont demeurer là près de deux siècles. Les premiers « Doucette » sont arrivées en Acadie en 1632. Ils venaient d’une région du centre de la France dénommée le Poitou. Le commandant des forces françaises, s’appelait « Sieur De La Verdure », c’était un noble. C’était un des premiers « Doucette ». Il était marié, mais probablement avec une native du pays. On n’a jamais pu trouver le nom de sa femme.
Ils ont eu 4 enfants, trois garçons et une fille. C’est par eux que la famille Doucette actuelle trouve son origine. Épuration ethnique anglaise de 1758
En 1758, tous les Français de l’Île-du-Prince- Édouard ont été expulsés.
Illustration: La déportation des Acadiens, c'est expulsion de tout un peuple par les Anglais.
À l’origine, cette île s’appelait « l’île Saint Jean.
« C’est le nom que lui avait donné Jacques Cartier à sa découverte qui avait eu lieu le 24 juin 1534 et qui correspond à la fête de Saint Jean Baptiste.
JQP : Donc à 12 ans, vous recevez cet appel de Jésus et ensuite quel a été votre cheminement de vie jusqu’à la prêtrise ?
Une famille de 12 enfants
MD : Je demeurais chez mes parents. Mes parents ont eu 12 enfants. Nous étions une famille priante. Nous priions tous les jours après le souper.
Nous allions à la messe tous les dimanches, et quelquefois aussi en semaine.
J’ai fait mes études tout près de chez moi, des grades 1 à 9, puis, à une école distante de 4 kilomètres de chez moi où j’y allais en bicyclette pour les grades 9 et 10 et enfin pour les grades 11 et 12 à l’écolesecondaire de Tignish.
Les études se déroulaient très bien, car j’ai même fini second de ma classe à l’école secondaire de Tignish.
Après cela, j’ai passé un an et demi à Montréal et suis ensuite entré à l’université D’Edmonton (province d'Alberta). Il s’agit d’une université catholique où j’ai rencontré pour la première fois « les Pères blancs ».
Un Père blanc était venu nous rencontrer à l’université pour nous parler de l’Afrique. Ce jour-là, ma destinée s’est tracée.
J’ai écrit aux Pères blancs qui m’ont accepté parmi eux, et ils m’ont fait changer d’université pour celle de New-York.
J’ai fait ma philosophie, puis mon noviciat en Pennsylvanie. Les Pères blancs m’ont envoyé ensuite à Londres pour ma théologie. J’ai été ordonné prêtre à l’Ile du Prince Edouard dans ma paroisse où j’ai été baptisé, fait ma première communion, puis ma confirmation.
Élevé à la prêtrise
J’ai été ordonné prêtre en cette église par l’Evêque de Charlottetown, le 22 juin 1968 (une date que je n’oublierai jamais). Et au mois d’août de la même année, je partais pour l’Afrique.
JQP : A quel séminaire étiez-vous inscrit ? MD : J’ai fait mon séminaire à Londres. Et comme l’été, on ne pouvait pas revenir au Canada, nos supérieurs nous ont donc autorisés à voyager. C’est ainsi que j’ai passé tout un été en France.
Tournée française
J’ai fait le tour de France de Paris en passant par Dijon, Lyon, Châteauneuf des papes, Marseille, Toulouse et Paris. J’ai donc passé deux mois et demi en France.
A un certain moment de ce périple, j’ai aussi séjourné deux semaines dans la région du Massif Central où un français, collègue d’études à Londres m’avait invité dans son domicile.
Je ne me souviens plus du nom du village. Ah ! Il faut aussi préciser que je me suis rendu à Lourdes.
JQP : Et ensuite vous êtes arrivé en Afrique ! Avez-vous connu, là-bas des problèmes de communication parrapport à la langue ? Dans quelle langue vous exprimiez-vous ?
MD : Chez nous, nous parlions en français. Jusqu’à l’âge de 7 ans, je ne parlais pas un mot d’anglais. Mes parents étaient des Acadiens et parlaient uniquement le français.
Photo: Le Père Doucette, l'interviewer Isidore Grao et Paulette Vinet. Allez sur: http://journalquebecpresse.org/module ... /article.php?storyid=2844
JQP : Et pourtant votre accent à de fortes intonations d’anglais ?
MD : Après 29 ans d’Afrique, et mes études en Anglais, tous les accents se sont mélangés dans mon parlé. J’ai donc passé dans un pays d’Afrique de l’Est, le Kenya, 29 ans de ma vie et 6 mois ensuite, au Kenya.
JQP : A cette époque ces pays étaient calmes, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui ?
MD : La Zambie est un pays calme, il n’y a jamais eu de guerre.
JQP : Et comment se manifestait la coexistence avec ces peuples africains ?
MD : Moi, j’ai été très bien accepté par les Africains en l’occurrence les " Mimïambes", du nom de leur tribu.
La première des choses que nous faisions en arrivant dans un nouveau pays, c’est d’apprendre la langue.
Donc pendant 6 mois, je suis allé apprendre leur langue, apprendre 10 mots nouveaux chaque jour. Je me souviens que le vendredi, nous avions déjà oublié les mots du lundi. Ce n’était pas facile.
Mais au bout de 2 ans, je parlais comme les Africains.
JQP : Et comment acceptaient-ils le message de Dieu que vous étiez venu leur délivrer ?
Les Africains connaissent Dieu
MD : Les Africains connaissent Dieu, sans l’aide des missionnaires. Ils ont toujours eu la foi en Dieu. Ils vous déclarent "Oui, on sait qu’il y a un Dieu créateur du ciel et de la terre. Mais ils n’avaient jamais entendu parlerde Jésus.
Les précédents missionnaires, avant moi, leur avaient prêché la foi. Chez les Mimïambes, aujourd’hui ils sont plus d’un million et 80 % d’entre eux, sont catholiques."
JQP : Etes-vous retourné en Afrique ?
MD : Non, je n’y suis pas retourne. Je n’ai jamais eu l’occasion d’y retourner. Mais j’ai conservé quelques amitiés avec qui j’entretiens une correspondance par courriels, la plupart du temps.
Le don de guérison
JQP : Je voudrais savoir comment avez-vous reçu le don de guérison que l’on vous reconnait. Il faut reconnaître que vous êtes un prêtre hors du commun ?
Tableau: Notre-Dame-de-l'Île-du-Prince-Édouard, peint par l'atriste Amanda Richard d'après les indications du voyant, le Père Melvin Doucette.
MD : Mais ce n’est à cause de moi, c’est le Ciel qui choisit les personnes. J’ai été choisi certainement parce que je suis le plus pauvre des prêtres, et puis aussi parce que Marie l’a voulu ainsi.
JQP : Et quel a été son premier message ?
MD : "Je suis la Dame de l’Ile du Prince Edouard et je viens te demander de construire mon sanctuaire".
------------------- NDLR: Les dernières nouvelles en ligne, cliquez sur: http://trinite-sainte-et-mariemamere. ... com/article-35966772.html -------------------
Elle m’a demandé de faire autre chose : "Premièrement, écris un poème en mon honneur et va voir Amanda Richard, c’est elle qui dessinera mon image et deuxièmement écris à l’Evêque pour lui demander la permission de construire mon sanctuaire."
"J’aime beaucoup les habitants de l’Île-du-Prince-Édouard. Il y aura beaucoup de gens qui viendront me voir non seulement de l’intérieur de l’Ile, mais aussi de l’extérieur." LISEZ LA SUITE DE L'ENTREVUE, EN LIGNE SOUS PEU.
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