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: FRANCE : MALAISES SOCIAUX
Publié par admin le 05/10/2008 17:50:00 (1990 lectures) Articles du même auteur

Les bandes de jeunes. Des "blousons noirs" à nos jours


PAR OMER SIMBILLE
Correspondant
Journal Québec Presse
PARIS — Le Québec devrait porter attention à ce tout nouvel ouvrage publié en France, un ouvrage sous la direction de Marwan Mohammed et Laurent Mucchielli (La Découverte, coll. "Recherches", 2007, 404 p., 28€)

ALLEZ SUR : www.liens-sociaux.org (LE PORTAIL FRANÇAIS DES SCIENCES SOCIALES)

Par Igor Martinache


À écouter les déclarations des responsables politiques de droite comme de gauche, l’« insécurité » serait devenu le problème social majeur de notre époque [
1], comme pour masquer le véritable enjeu que représente le délitement de la société salariale [2], avec le système de protection sociale qui l’accompagne [3]. panneaux2_dscn1029br_400

Et parmi les responsables désignés du climat d’insécurité, les « bandes de jeunes » figurent en bonne place, comme l’indique la Loi sur la sécurité intérieure (LSI) adoptée par le Parlement le 18 mars 2003 sur l’initiative du Ministre de l’Intérieur d’alors, un certain... Nicolas Sarkozy.

L’une de ses dispositions, la pénalisation des rassemblements dans les halls d’immeuble, avait alors suscité une certaine émotion, sans que cela n’entraîne pour autant le retrait de la disposition [
4]. Les « émeutes » de novembre 2005 qui se sont déclenchées après la mort, à Clichy-sous-Bois, de Bouna Traoré et Zyed Benna, réfugiés dans un transformateur électrique après avoir été pris en chasse par une patrouille de police [5] puis quelques mois plus tard les incidents ayant émaillé les manifestations contre le Contrat Première Embauche (CPE) [6] ont ramené sur le devant de la scène la question des « bandes de jeunes » [7].bn_visuexpo200
 
Mais au-delà des stéréotypes sensationnalistes véhiculés par les médias ou certaines interactions dans l’espace urbain où le processus d’étiquetage joue à plein [
8], que sait-on réellement des bandes juvéniles, nouvelles incarnations des « classes dangereuses » [9]  ? Qui sont leurs membres ?

Quelles logiques les animent ? Enfin et surtout, dans quelle mesure ce phénomène est-il réellement nouveau ?


Telles sont quelques-unes des questions que cet ouvrage contribue à éclairer. Issu d’un colloque interdisciplinaire, celui-ci propose ainsi un état des lieux assez élargi du phénomène des bandes de jeunes.

Outre une actualité médiatico-politique que l’actuel hôte de l’Elysée a largement contribué à aviver en lâchant à escient son fameux qualificatif de « racailles », l’actualité de la recherche sociologique justifiait à elle seule une telle entreprise. wildones_400

Comme le rappellent Philippe Robert ainsi que Laurent Muchielli et Marwan Mohammed dans leurs introductions respectives, un certain nombre de thèses en sociologie ou en sciences de l’éducation sont venues considérablement renouveler le regard porté aux bandes juvéniles au cours des dix dernières années, en explorant les angles morts des travaux antérieurs. Il s’agit notamment des recherches de Maryse Esterle-Hedibel [
10], David Lepoutre [11], Stéphani Rubi [12], Thomas Sauvadet [13], Benjamin Moignard [14] ou Marwan Mohammed [15], qui, à l’exception de la deuxième citée, sont toutes résumées plus ou moins directement par leurs propres auteurs dans le présent volume.
 
A partir de l’étude fondatrice de Frederic Thrasher [
16], les bandes ont d’abord été envisages sous l’angle de la délinquance et de la criminalité, et il faut attendre près d’un demi-siècle pour que d’autres dimensions de leur vie sociale soient envisagées [17]. blouson_rocker_et_casquette_de_face_400

Photo: Permettez ce clin-d'oeil animal pour alléger cet article-intellect-poussé-aux-dialectiques-sociales. Ouufff ! Oufff! chérie.

Or, les travaux pré-cités ont prolongé cet élargissement du regard, en explorant respectivement le rapport à une certaine incertitude existentielle, les modes de communication spécifique, l’intégration des filles à ce mode de sociabilité spécifique, la question d’un champ spécifique aux quartiers pauvres où la capacité à s’imposer physiquement ou verbalement constitue le capital structurant, le processus de socialisation -bien plus formalisé qu’il n’y paraît- dans les bandes des favelas brésiliennes ou encore l’articulation entre vie familiale et intégration à une bande. Avant la présentation de ces travaux, la première partie de l’ouvrage donne la parole aux historien-ne-s qui retracent la construction par la presse et le cinéma du mythe des « blousons noirs », ancêtres des bandes actuelles, eux-mêmes venant quelques décennies après les « Apaches » [
18].

Vient ensuite une partie sociologique - au sens strictement disciplinaire du terme- dans laquelle Maryse Esterle-Hedibel revient sur les controverses théoriques suscitées par le concept de bandes juvéniles, dont François Dubet dans sa fameuse description de la « galère » il y a vingt ans décrétait la disparition [
19]... Marwan Mohammed s’intéresse pour sa part au rôle des fratries et des cousins dans la « promotion du pôle déviant », tandis que Thomas Sauvadet revient sur la typologie qu’il dresse déjà dans sa thèse des différentes formes de regroupements juvéniles en fonction de la taille et de l’activité principale, permettant de rompre avec les amalgames d’un regard trop distancé et partant homogénéisant.
 
Matthias Millet et Daniel Thin reviennent pour leur part sur le rapport problématique que l’école entretient avec les jeunes de catégories populaires, leur adressant malgré elle une véritable « injonction à la déviance » [
20]. Après cette partie consacrée à la « construction sociale des bandes », la troisième est consacrée aux « bandes en actes ». blouson_rocker_vue_de_cote_400

Outre la recherche de Stéphanie Rubi précédemment évoquée sur les bandes de filles, on retiendra l’article de Laurent Muchielli sur les viols collectifs, qui reprend en partie un précédent ouvrage où il déconstruisait la représentation médiatique des « tournantes » [
21] et dans lequel il redonne une épaisseur historique et sociologique au phénomène en question, cherchant à comprendre au sens weberien du terme tout en s’abstenant de juger moralement.

Les deux dernières contributions de cette partie, celles de Manuel Boucher et Jérôme Boissonade, rappellent que comme tout phénomène social, l’activité des bandes ne prend sens que resitué dans un contexte social plus large.

Le premier s’intéresse ainsi aux rapports ambigus qu’elles entretiennent avec les travailleurs sociaux, entre stigmatisation réciproque et instrumentalisation de ces derniers, tandis que le second revient sur les différentes formes de légitimité qu’elles peuvent rechercher dans l’espace public.


La dernière partie de l’ouvrage, certainement la plus stimulante, est consacrée à la question des comparaisons internationales. Après un cadrage théorique opéré par Marwan Mohammed, Yves Pedrazzini livre dans un texte au ton passionné un plaidoyer pour une analyse compréhensive des gangs -notamment latino-américains-, qu’il s’agit d’envisager d’un point de vue fonctionnel comme des formes d’adaptation à un phénomène d’urbanisation largement déshumanisant.

Danièle Poitou s’inscrit dans une perspective proche en replaçant le phénomène des bandes juvéniles en Afrique dans une perspective historique, et en montrant que celles-ci répondent en quelque sorte au délitement de certaines structures sociales que l’on qualifiera faute de mieux de traditionnelles.
 
Toujours en Afrique, mais dans sa partie la plus australe, Thibaut Dubarry 5747195965484811523vbs’intéresse aux tsotsis, ces jeunes membres de gangs qui contribuent à faire du pays le plus riche de l’Afrique également le plus meurtrier du monde. De la même manière, il éclaire en grande partie ce paradoxe en le reliant aux conséquences encore vives de l’Appartheid, autrement dit une société très inégalitaire et marquée par les clivages ethniques.

PHOTO: Un "gââs de bésic" (gars de bicycle à la Diane Dufresne)... mais bourgeois québécois de 2008... fils à papa. 

Benjamin Moignard clôt enfin cette partie par un article remarquable. S’il ne livre pas tout à fait la comparaison annoncée entre bandes juvéniles en France et au Brésil, en se concentrant principalement sur ce second pays, il montre très bien à la fois l’organisation très formalisée qui règne au sein des gangs, les processus de socialisation en leur sein, mais aussi d’intégration au sein de la communauté locale, et les liens ambigus de protection réciproque qui se nouent entre les meneurs et la population de leur quartier.

Comme du reste plusieurs autres articles, il restitue enfin bien le rapport à l’existence particulier qui se noue dans ce « monde des bandes », ainsi que Gérard Mauger intitule sa conclusion au présent ouvrage : un rapport à la vie fait d’incertitude radicale et de dénégation de la pauvreté de sa condition initiale, ainsi que certains clips de rap peuvent l’illustrer jusqu’à la caricature.

Tout cela contribue à développer, comme le remarque notamment Thomas Sauvadet, une série de valeurs et de compétences (prise de risque, sens de la « débrouille », fascination pour la consommation ostentatoire,...) chez certains de ces jeunes membres de bandes, qui n’est pas sans ressembler justement à celles que les tenants de ce que l’on désigne rapidement comme « néolibéralisme » voudraient justement nous voir adhérer [
22]. Dans cette perspective, le phénomène des « bandes de jeunes », dont le présent ouvrage nous permet de distinguer les multiples facettes, a encore de « beaux » jours devant lui...


[
1] Cf Laurent Bonnelli, La France a peur. Une histoire sociale de "l’insécurité", La Découverte, Paris, 2008, dont une recension est disponible ici


[
2] Sur cette notion, voir Robert Castel, Les métamorphoses de la question sociale, Fayard, Paris, 1995


[
3] Cf Robert Castel, L’insécurité sociale. Qu’est-ce qu’être protégé ?, Seuil, Paris, 2003 ou Frédéric Pierru, Hippocrate malade de ses réformes, éditions du Croquant, Bellecombe-en-Bauges, 2007, recensé


[
4] Sans parler du texte dans son ensemble, créant de nouveaux délits stigmatisant entre autres prostitué-e-s, hooligans, mendiants, gens du voyage,...


[
5] Cf Gérard Mauger, L’émeute de novembre 2005, éditions du Croquant, bellecombe-en-Bauges, 2006, recensé sur ce site


[
6] Pour une analyse sociologique des conditions de ces mouvements sociaux de jeunes français, cf Hugues Lagrange et Marco Oberti (dir.), Emeutes urbaines et protestations, une singularité française, Presses de Sciences-Po, Paris, 2006


[
7] Il faudrait encore mentionner les émeutes survenues il y a maintenant un an à Montfermeil - une fois de plus déclenchées par la mort accidentelle de deux jeunes impliquant des fonctionnaires de police-, et ce ne sont que quelques-uns des faits d’« actualité » faisant intervenir des groupes de jeunes issus des quartiers pauvres


[
8] En rendant la méfiance voire la peur à l’égard de certains groupes de jeunes auto-réalisatrice, dans la mesure où les agents ainsi stigmatisés tendent à se conformer à l’image qu’on se fait d’eux - Cf Howard Becker, Outsiders. Etudes de sociologie de la déviance, Paris, Métailié, 1985 [1963]


[
9] Pour replacer dans une perspective historique ce phénomène consistant à faire des catégories les plus pauvres des « boucs-émissaires », voir l’étude historique de Louis Chevalier sur le Paris du XIXème siècle, Classes laborieuses et classes dangereuses, Perrin, Paris, 2006 [1978]


[
10] La bande, le risque, l’accident, L’Harmattan, Paris, 1997


[
11] Cœur de banlieue. Codes, rites et langages, Odile Jacob, 1997


[
12] Les crapuleuses. Ces adolescentes déviantes, PUF, Paris, 2005


[
13] Le capital guerrier, Armand Colin, Paris, 2006 dont une recension est disponible à ce lien


[
14] L’école et la rue : fabriques de délinquance : recherches comparatives en France et au Brésil, Presses Universitaires de France, Paris, 2008


[
15] La place des familles dans la formation des bandes de jeunes, Thèse de doctorat de sociologie, 2007, Guyancourt, Université de Versailles-Saint-Quentin


[
16] The Gang. A study of 1313 Gangs in Chicago, University of Chicago Press, Chicago, 1927


[
17] On peut citer à ce titre l’ouvrage de Philippe Robert et Pierre Lascoumes, Les bandes adolescentes. Une théorie de la ségrégation, éditions Ouvrières, Paris, 1974


[
18] Cf notamment Thomas Sauvadet, op.cit.


[
19] La galère. Jeunes en survie, Fayard, Paris, 1987


[
20] Cf notamment de ces mêmes auteurs Ruptures scolaires : l’école à l’épreuve de la question sociale, PUF, Paris, 2005, recensé ici


[
21] Le scandale des tournantes, Dérives médiatiques, contre-enquête sociologique, La Découverte, Paris, 2005


[
22] Rappelons que Laurence Parisot, président du MEDEF, le principal regroupement patronal, expliquait que "La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ?" dans Le Figaro Economie du 30 août 2005 avant de déclarer quelques jours plus tard sur France-Inter : "Le mot précarité est un mot à la mode qui a pour objectif de nous empêcher de réfléchir » car selon elle, la précarité est "une loi de la condition humaine"
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LES BLOUSONS NOIRS : un article du El Watan, Alger.

elwatanlogo

Motocyle-Des Harley Davidson en Algérie

La grande balade des blousons noirs

C’est un événement exceptionnel qui se déroule actuellement à travers des contrées du sud du pays. Vingt-cinq motocycles de type Harley Davidson sont arrivés, hier à midi, à Ouargla, à 900 km du sud-est d’Alger après avoir visité Bou Saâda, Constantine et les oasis de Oued Souf.



 

Ces motards ont débarqué, mercredi dernier, du bateau battant pavillon français le Méditerranée avant de sillonner le pays, les rues et les ruelles de la capitale. Et c’est depuis le sanctuaire des Martyrs, à El Madania, sur les hauteurs d’Alger, que nous avons été invités à une balade à bord des fameuses Harley Davidson.
 
Bien escortés par ceux de la Sûreté nationale, les motards ont parcouru les rues de Didouche Mourad, la Grande-Poste, la place des Martyrs, Bab El Oued jusqu’aux hauteurs de Bologhine.
 
Sur l’esplanade de Notre-Dame d’Afrique, Alger la Blanche apparaît dans toute sa splendeur aux touristes aux yeux écarquillés, captivés par tant de beauté, mais aussi agréablement surpris par l’accueil chaleureux de la population. Les Algérois, très habitués des passages encombrants des délégations officielles, ne cachaient pas leur joie de voir ainsi leur quotidien bercé par autre chose que la politique, les députés, la chasse aux « koursi » et, parfois même, des attentats. « C’est une belle initiative.
 
C’est vraiment fabuleux de voir que les touristes européens reviennent à Alger alors que sur la chaîne satellitaire Al Jazeera ou ailleurs, on nous taxe de pays à risque, de pays terroriste alors que nous vivons le plus normalement du monde », déclare une femme à Aïn Benian.

Il faut dire que les motards, mercredi dernier, ont été accueillis d’une manière exceptionnelle dans cette localité du littoral ouest d’Alger. Il y a même une troupe de zernajiya à bord d’une camionnette qui a daigné faire le trajet jusqu’à Aïn Benian afin de « souhaiter la bienvenue aux hôtes de l’Algérie ». « C’est bon signe pour l’Algérie et son économie », affirment presque en chœur les habitants de Aïn Benian.
 
Les passants et les riverains immortalisaient des photos à l’aide de leurs téléphones portables ou appareils photos numériques. Il y a même des femmes qui lançaient des youyous depuis leurs balcons. Déjeuner au restaurant El Yasmina, au petit port d’El Djamila (ex-La Madrague). Au menu : rouget et merlan. Les motards évoquent des souvenirs de leurs randonnées respectives à travers plusieurs pays et s’informent sur l’Algérie auprès des journalistes.

Après une petite pause, le cortège a repris la route du front de mer vers la localité de Aïn Benian. Accueil chaleureux dans un quartier à Aïn Benian puis direction à l’hôtel Safir Mazafran de Zéralda.

« Nous avons fait 13 fois le Maroc, 5 fois la Tunisie et la Libye et il ne manquait plus que l’Algérie pour boucler le Bassin méditerranéen sans compter les autres pays tels que la Syrie, le Liban, l’Egypte, etc. Nous avons fait en tout 17 destinations jusqu’à présent », déclare Jean-Marc Chapel, responsable du Grand Run spécialisé dans l’organisation des raids. Joëlle Lafont, chef d’entreprise d’informatique et de bureautique à Bordeaux, était très contente d’avoir foulé, pour la première fois, le sol algérien.
 
A bord de sa Harley Davidson de marque Load Raider, Joëlle était très enthousiasmée de découvrir la beauté de l’Algérie. « Vous savez que vous avez un très beau pays. Il vous suffit simplement de l’exploiter », lâche-t-elle. Joëlle se dit désolée de voir beaucoup d’autres raiders se désister du voyage par crainte de ce qui se passe en Algérie comme véhiculé par les médias étrangers.

« C’est quand même dommage que les touristes européens ou américains ne soient pas encouragés à venir. Il faudra que ça change. On nous dit même que c’est plus beau que le Maroc et la Tunisie, et c’est ce que nous sommes venus découvrir. »

Joint hier par téléphone alors que la délégation dégustait du r’fis au milieu des palmeraies, dans la wilaya de Ouargla, Ryan Fezouine de Jade Voyages, à l’origine de cet événement exceptionnel en Algérie, s’est dit très content d’avoir fait ce voyage. « C’est vraiment un excellent voyage qui est plein d’émotion et de découverte.
 
Nous avons été très émus par l’accueil chaleureux de la population locale à chaque halte que nous faisons ou pendant chaque passage. » Ryan nous fait part de ce geste des enfants d’une localité située entre Bou Saâda et Aïn Lahdjel. « Les enfants ont cotisé et ont offert des fleurs aux dames du groupe et accroché une rose à chaque moto. »
 
Notre interlocuteur affirme que le groupe sera trois fois plus nombreux les années à venir : « Je peux vous dire que nous allons dépasser le nombre de 85 motards pour les prochaines éditions », a-t-il dit. La trentaine de motards arrivera, mercredi vers 15 h à Tipaza, avant de prendre la route du littoral en direction de l’hôtel Saint-George au centre de la capitale. Une randonnée au niveau d’Alger sera organisée jeudi matin où les motards pourront parcourir plusieurs rues et ruelles d’El Bahdja.

 

Par Nadir Kerri





 

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02/06/2015 23:30:00 -
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