Un chef-d'oeuvre.
 Un livre de référence.

UN LIVRE-CULTE

« Des cercles dans la nuit »
de Umberto Molinaro, France
Quel chef-d'oeuvre !

UN LIVRE DE RÉFÉRENCE, UN LIVRE-CULTE


par Michel Cloutier,
journaliste d'enquête
Journal Québec-Presse
PARIS (JQP) — Quel chef-d'oeuvre ! En recevant le livre par la poste, en première québécoise, le premier avril, je me suis plongé tout de suite dans sa lecture, étant habitué de par mon métier à entrevoir les perspectives imaginaires de tels ouvrages. Mais cette fois-ci ce « voyage initiatique au pays des ‘crop circles’ » m’apparaît être un livre de référence. Un chef-d'oeuvre qui ne flirte pas avec les autres ouvrages du genre, restés des inventaires méthodiques de tous ces dessins.

Or, chez Molinaro, le courant intérieur passe avec ses répercussions sur la conscience supérieure de l'homme.

Rien de moins. 

Car, en vous suivant d’une page à l’autre, M. Molinaro, vous exploitez votre humeur entreprenante et aventureuse avec Linda, votre chère complice. Vous avez l’air amusé et charmé, tout fin prêt à devoir heurter de front ces hallucinants cercles et les irritants fermiers de ces collines. Devenus féroces, ces fermiers vous prennent pour un fauve, ironiserait-on.

L’aventurier tendu que vous êtes dans ces vastes champs, se met à flairer les travaux nocturnes, ces tracés qui se forment avant les moissons comme par magie en de gigantesques tranchées géométriques, revendiquées par personne. Ces couloirs vous mettent en appétit dans une engageante beauté.

C’est à voir !

La splendeur vous atteint, vous donne l’envie de transmettre au

lecteur votre caractère préférentiel pour la géométrie sacrée. Et survivre d’une félicité perpétuelle de l’âme avec Linda, le temps de développer vos  crescendos corporels.

Enthousiasmé, vous voici en état de grâce, l’instant donc d’une grande sublimité dans le vertige de comprendre ces rapports qui, fatalement vous renvoient à autant de vœux mystiques qu’à des solutions rationnelles…

Une affaire de manière d’être déniaisée, palpée et reniflée avec l’envie d’ajouter la voluminosité concrète des cultures millénaires pour qu’enfin, l’Homme d’aujourd’hui redevienne spirituel, maître dans sa propre maison et conquérant de ces énigmatiques cercles dans le blé qu’il aura démystifié.

Alors là, l’âme humaine, fraîcheur réelle des parfums célestes, risque tout de même un mouvement d’orgueil en se donnant tous les titres au terme de la tentation de devenir Dieu. Certes, l’Homme est une parcelle de Dieu. C’est pour mieux manger, digérer et assimiler par le cœur (et non la raison) la puissance de l’Amour en allant jusqu’au bout de sa mission terrestre, celle de « servir l’Amour (Jésus-Christ) » en s’aimant les uns les autres.  

AU COEUR DU MYSTÈRE

 Au cœur du mystère, tel un foyer incandescent, vous voilà M. Molinaro, tout absorbé, et patiemment comme un penseur, un enquêteur intrépide à l’esprit fort, pour ne pas dire un philosophe du troisième millénaire qui se laisse ainsi ravir par l’esthétique beauté des cercles… et tant d’arabesques géométriques qui engagent chez vous une profonde méditation.

À toucher la nuit des temps au gré des équations mathématiques générées par tant de dessins aux besognes quasi quotidiennes. Et naît une symbiose entre vous,  Linda, vos compagnons et ces attirants couloirs de blé… de longs passages vers l’inconnu à mener directement aux constellations ?  Heureuses consonances de vos anticipations.

Ainsi donc, loin de nous enliser, nous voilà surclassés, bondissant sur le front métaphysique de la pensée humaine, une pensée qui semble se dévoiler petit à petit, à petits pas dans ce rythme initiatique jamais trompé. Explications et descriptions s’échafaudent d’un chapitre à l’autre.

Tout s’active à coiffer le mystère d’une valeur suprême.

L’EFFROI AU RENDEZ-VOUS

Sillonnés, les dessins sont des prises revêtant toutes les livrées : voici un étonnant visage, celui d’une créature tranquille aux traits humains. Telle une « vierge mystique » semblez-vous signaler, à guérir nos maladies.

Une ambiguïté à me donner des allergies !

Car cette figure insolite ne comporte aucune portée ontologique. Peut-on lui attribuer un pouvoir de pénétration métaphysique d’avec les autres vierges culturelles des siècles passés ? Peut-être un baume dans une thérapie rationnelle à opérer des miracles et nous guérir des morsures du démon. Mais ne serait-ce qu’un simple événement illusoire ? Probablement pas.

En fait, ce visage de blé trouve sa résistance dans la marche enfoncée de tous ces cercles dont la kyrielle panoramique devient une gymnastique alchimique vertigineuse. Un dialogue orgiaque s’ensuit à tenter de mûrir « la moisson » de ces collines anglaises.

Puis voici la figure d’un intrus qui émerge du blé, hors de notre conscience humaine. Une frénésie décevante. D’une étrange laideur, l’œil démesuré, obsédé, et les traits inquiétants, cette entité inhumaine nous hante. Bien plus, elle menace notre psychisme à le troubler. L’effroi est au rendez-vous. Ma curiosité panique. Je paralyse.

Quel désordre ! Affolé, le coeur serré,
j’y ressens
une puissance satanique.
À recommander
mon âme à Dieu !

Cette entité rejoint-elle l’autre formation
appelée angel  (page 62), les ailes en
moins, ange moderne de nos cultures technologiques  ?
Contraste soudain, à braver cette fracture.

Je préfère la sérénit

é d’un ciel sans nuage.

« Anges, extraterrestres ou hommes. Qui est derrière ces manifestations ? », demandez-vous.

·        Comme tous les instants sont comptés, cette « silhouette » (l’entité inhumaine) évoque chez vous « la prédominance de l’intelligence de l’homme à venir, les grands yeux sont  la représentation de la conscience, de la lucidité. »

Intéressante approche. Audacieuse, sans aucun tressaillement. Il me semble que nous pourrions presser du doigt sur cette entité comme sur un bouton pour déchaîner des forces colossales psychiques dont nous ne serons plus maîtres. L’homme dépassé par son propre pouvoir. Chef-d’œuvre à l’horizon ? 

La tête me tourne à devenir sorcier ! On peut donc étendre votre approche devant nous à perte de vue jusqu’au lointain horizon du futur, braqué vers la certitude surnaturelle. Or, la « réincarnation » est une invention des hommes selon Jésus dans ses dictées à Maria Valtorta. Même si nous la retrouvons dans le symbole de la croix celte, cette notion évacue la Résurrection du Christ.

En mettant le bout du doigt dans la souricière de la réincarnation nous provoquons un piège attirant en évacuant d’un trait de plume le mystère de la mort et de la Résurrection du Christ. Et le Christ aura souffert en vain.

À ce stade évolutif des énergies, guides et anges célestes se déchiffrent au grand jour, au point qu’ils ont un mode de vie unique, celui d’être soit de puissants Veilleurs dont l’éternelle jeunesse aboutira à des miracles sur la seule foi de nos prières humaines. Ou soit la puissance promise par Satan qui corrompt l’humanité dans son état d’insuffisance spirituelle.

Ici, votre désir d’en expliquer tout le fond mystique, accorde à l’ange céleste le pouvoir de sauver l’humanité une seconde fois, depuis l’événement biblique de l’ange exterminateur de Sodome et Gomorrhe.

Votre approche aurait-elle plus de félicité si elle nous renvoyait à la plénitude ontique, c’est-à-dire au christianisme ? au drame de la foi chrétienne du Dieu miséricordieux, celui de Jésus-Christ ? Celui-ci nous invite tous à tremper nos lèvres dans la coupe de son sang. Et manger son corps pour obtenir la vie éternelle. La pureté de ce geste de foi s’accueille paisiblement dans la prière du cœur pour en pénétrer le mystère même de la Vie. Et en vivre quotidiennement en son pouvoir de rédemption.

Car l’Esprit doit absolument dominer la chair. Les Saints de l’Église en sont les héros. Alors que Satan nous ensorcelle, nous séduit par la chair. L’impureté vient de lui.

Si les cercles ne débouchent pas sur Jésus-Christ, l’humanité se jettera de nouveau à corps perdu dans le devenir platement humain, vibratoire de l’esprit impur, voué à toutes les énergies monstrueuses, catastrophiques où la Sagesse de la joie s’embourbera et la grâce divine s’émoussera. L’instant divin de Jésus risque alors de nous échapper. 

« C’est la lumière de l’esprit qui peut nous sauver… notre ange intérieur. Nous ! » Votre citation en page 64 peut-elle combler le lecteur ? Cet ange, est-ce vraiment nous ?  Permettez d’en douter. Et de quel ange s’agit-il ? Un ange de Lumière émanant du Ciel ou un ange de l’enfer ? S’il vient du Ciel, il nous accompagne et nous instruit. S’il sort des Enfers, il nous rend orgueilleux et nous devenons des dieux en recommandant notre âme au démon.

Le ressort de la foi chrétienne est la Résurrection du Christ, élément fondamental de cette foi. Ne faudrait-il pas plutôt dire : « C’est la Lumière de l’Esprit-Saint qui nous sauve », car c’est la toute puissance de cet Esprit qui a ressuscité le Christ de son tombeau.

Bref, le courant christique passe sûrement d’un cercle à l’autre, à nous dégourdir les jambes dans ces tranchées, jusqu’à atteindre librement la foi chrétienne. Dans le cas contraire, la durée de la vie humaine va croître à l’infini dans le cercle de l’égo, sans rencontrer Dieu. Des cercles égoïstes de plus en plus grands, de plus en plus forts, de plus en plus vites et toujours davantage. Un terrorisme d’agroglyphes dans un crescendo indéfini, provoquant la mutation radicale des champs de blé. C’est la dérive du néant dans ce vaste espace géométrique qui entasse étage sur étage, des années et des siècles de cercles fabuleux et novateurs dans un pacte extraterrestre où la folie des records (de cercles) nous fait crever d’indigestion. Ou bien nous trempe à outrance dans un fluide vibratoire dont le divin bon-plaisir personnel en est l’accélérateur par excellence. 

Nous voilà « colonisés » par la profusion marathonienne de ces dessins, sans jamais devoir atteindre le Ciel de la Révélation chrétienne. Car, au bout de ce marathon, la civilisation va se battre les flancs. Pataugeant, elle va culbuter jusqu’au fond de son destin humain en forçant le cadenas vibratoire dans un mélange de consternation et de terreur des Gris (race extraterrestre dépistée aux États-Unis, comme vous le savez sans doute).  

Mais tant qu’à pousser l’exercice, amusons-nous en allant jusqu’au bout de cette hypothèse : se pourrait-il que finalement les extraterrestres soient appelés à découvrir le Christ lors de son retour triomphal sur terre pour renouveler la face la terre ? Nouvelle terre, nouveaux cieux sous les tribulations ? En témoins directs des événements, les extraterrestres se diront peut-être, émerveillés : « Voilà ! C’est lui le Créateur de l’Univers. Rallions-nous à lui et servons-le ! »

Pour l’instant, sans le Christ, plus de printemps lumineux dans la saveur du réel, la saveur angélique sortie du Créateur. Libre à nous de s’en remettre uniquement aux interventions extraterrestres. Le libre-arbitre avant-tout.

UN DISQUE ENCODÉ       

Voilà qu’aux côtés de l’effroyable entité, se trace un disque codé, familier de nos ordinateurs, à la portée
de sa main invisible… et de nos mains
humaines bien entendu. Un frisson est justifié.

Cet étrange disque fait figure d’expression oratoire, tel un élan d’organisation verbale et d’intentions formulées. Comme si au bout de sa langue, l’entité cherchait une issue sonore, à remplir notre espace sonore qu’il canalise manifestement en messages encodés.

Mais comme l’homme d’hier et d’aujourd’hui est aussi verbeux que méfiant, notre espace sonore à nous risque une conduite inférieure aux messages décodés. Avant que les démangeaisons nous atteignent, vaut-il mieux oublier cette entité et retourner vers le grand jour lumineux des étincelants cercles.  L’entité est-elle annonciatrice de l’âge dévastateur des grandes explorations spatiales humaines ? ou bien de l’âge initiatique et pacifique des contacts extraterrestres ? Je reste en haleine, ne voyant chez l’entité en question que domination culturelle, psychique et spirituelle.     

LE SILENCE SACRIFIÉ DE LA NASA

 Et la NASA ? Elle en emboîte le sens spatial dans sa visée conspirée. Tous les signes ouvertement exhibés sont enveloppés, secrètement étudiés, peut-être divulgués en haut-lieu, qui sait ! La NASA opte toujours pour le silence stratégique, sous le sceau dramatique du  « secret militaire ». Sécurité nationale oblige. C’est d’un pays à l’autre. Un silence honteusement sacrifié à l’actualisation officielle du phénomène. Le pouvoir souterrain des militaires, puissant moteur d’un état de guerre artificiel, refoule et refoule les informations.   

Puisque la NASA ne peut endiguer le phénomène, ces cercles dans le blé sont devenus hors prix, allant au-delà des interdits gouvernementaux pour créer dans le vaste public le geste créateur d’un monde nouveau sur terre. Ne sommes-nous pas à l’aube d’une ère nouvelle ? M. Molinaro, vous en faites la démonstration valorisante. 

Et pourquoi votre ouvrage
devient-il un livre de référence ?

D’abord, aucun faux lointain historique. Aucun faux-semblant pouvant désabuser le lecteur. En courant la grande aventure dans la nuit de tant de cercles, vous entrez en amour, en respirez l’ère nouvelle avec l’émouvante fragilité de Linda. Ainsi, les événements du monde vous rendent solidaires comme des pollens féconds qui essaiment.

Quant à la dimension chrétienne, le navire du Christianisme peut lever l’encre en tout temps, au gré des appels intérieurs de chacun, puisque c’est Dieu qui appelle. Une intimité personnelle, le départ du fiat, le grand départ plein de joyeuses espérances pour la félicité éternelle dans le Christ. Et non simplement un voyage captivant, enchaîné aux cercles pour se réveiller un beau matin tout converti au mysticisme cosmique. Comme si chaque cercle opérait un rituel d’eau bénite pour la sanctification des gestes de l’esprit et de l’âme… mystère de l’imprévisible. 

C’est qu’au fil des pages, la sereine beauté et l’apparence exquise de la majorité des dessins apparus, allument l’intimité de votre récit dont la qualité et la passion nous embarquent dans une superbe approche romanesque. L’émotion passe.

Une dimension de profondeur en découle à même l’instant créateur des cercles qui s’annoncent comme étant une provision d’énergies telluriques.

Et votre plume sait parfaitement en  mesurer la pression historique, jusqu’à l’enthousiasme de la « pression artérielle des émotions », c’est-à-dire de l’émoi et du frémissement qui paraissent infinis en vous, allant du corps à l’Esprit, en traversant lumineusement votre âme dans cette dialectique naissante du mystère de ces cercles.

La page cent s’ouvre d’ailleurs sur le ravissement tangible des énergies dont cette lumière dorée, initiatique de paix et de visions personnelles. Comme si vous teniez cette lumière insolite dans le creux de votre main tout comme on peut tenir une existence dans le creux de la main et ambitionner l’époque passionnante des grandes découvertes spirituelles et techniques. Envoûtants cercles dans ces blés ! Il devient clair qu’ils transforment des moments de conscience chez certains visiteurs. Mais pas tous, manifestement. Question de vibrations. 

AUCUN MALAISE…OU PRESQUE À L’HORIZON

Aucun malaise ni inquiétude à l’horizon. Sauf l’entité à l’œil dévastateur. Aucune bizarrerie à fermer les pages. Aucune exaltation vide non plus. Ni même aucun embarras stérile qui soit nuisible pour la santé morale et mentale du lecteur… sous réserve de se sentir subitement épié par l’entité.

Votre culture, M. Molinaro, devient une grâce dans les circonstances.  Du reste, on en ressort nullement bredouille, entretenus sommes-nous par la magie à profusion  des symboles que vous expliquez. Et sans imposture.

C’est à nous combler d’espoir ! D’espoir pour demain, d’espoir spirituel où la beauté nous entretient, tout en nous apportant de l’euphorie. Quel inassouvissement de l’âme où gît l’inexplicable de l’existence !

Notre instinct vital semble exister plus intensément sous votre plume.

Je ne connaissais pas Benoît Mandelbrot et sa géométrie fractale. On ne peut s’en tenir là sans anticiper un avant-goût de forces cosmiques à ravitailler l’espèce humaine dans sa quête de l’Absolu.

Imaginez si Rimbaud, le génial poète, vivait ses dix-sept ans aujourd’hui même. Je le vois déjà dans sa densité, allant comme vous, se pétrir de la même « glaise cosmique ». Une présence fabulatrice à déchaîner les mots pour surclasser son Bateau ivre et amener Verlaine à une offensive créatrice de mots mystiques et célestes, au lieu du retentissant coup de feu qui s’ensuivit entre eux à la suite de cette triste Saison en enfer. Je fabule à mon tour et je m’amuse à imaginer les contradictions paradoxales qui sèment notre vie terrestre.

Brève biographie de l'auteur :
Umberto Molinaro naquit à Lille de père italien, le 25 décembre 1951.
Sa formation d'architecte l’a conduit à étudier la géométrie sacrée : Le Nombre d'Or, la Suite de Fibonacci...

Pour des besoins de santé, il s’est tourné vers le yoga et la méditation, à partir de là beaucoup de choses ont changé : « La conscience s’ouvre sur des univers qui étaient jusqu’alors inaccessibles, on ressent les choses de l’intérieur.»

Il est allé sur de nombreux lieux d'apparitions Mariales et des hauts lieux sacrés; il a recherché la trace des vierges noires jusqu'au fin fond de l'Auvergne, et les vertus des menhirs et dolmens qui enchantent encore les campagnes françaises.

« Au cours de ces voyages j’ai rencontré des gens exceptionnels et appris des techniques diverses comme la radiesthésie, l’utilisation des fleurs de Bach jusqu'au jour où j'ai découvert l'existence des cercles dans les champs. J'ai mené ma propre enquête en Angleterre à partir de 2002, puis en Belgique et en France… la grande aventure a commencé ! »

ALLEZ SUR : http://cerclesdanslanuit.free.fr 

Le livre est en vente sur le site :
http://www.hapiboutique.com/HB/Details_indispensables.php?code=116

Pour plus de renseignements sur la revue française:
http://www.magazinelinitiation.com

Voici un jaillissement symbolique extraordinaire dans les champs de blé, parmi tant d'autres pictogrammes expliqués dans le livre «Des cercles dans la nuit» de Umberto Molinaro. 

Un chef-d'oeuvre d'écriture qui maintient dans la circulation active des dessins, les ressources infiniment renouvelables de l'être. Une vraie métaphysique du troisième millénaire que Pascal, en rédigeant ses pensée, aurait compris l'efférence pure du mystère.  

Car, l'actuelle philosophie, à travers les pays, a ses félures, ses rides et ses cicatrices qui proviennent des épreuves psychologiques de nos civilisations terrestres. Alors ? Dans ces dessins, du nouveau est sous nos yeux : c'est la limpidité initiale où s'épure et s'édifie une nouvelle pensée dans le duel de la conscience : matériel et spirituel. Allez, messieurs les philosophes au front lisse ! Il est temps de vous exposer à ce phénomène planétaire, sinon cosmique. Laissez votre égo qui s'égare sur l'image de soi à travers vos ouvrages et embarquez dans le XXIe siècle. Une nouvelle jeunesse au rendez-vous.
(Commentaire de Michel Cloutier, journaliste d'enquête, écrivain et historien du Québec, cet État-nation francophone d'Amérique aux 8 millions d'habitants.)   

Petit courriel pour ceux qui n'ont pas le journal "La Voix du Nord, éditions de Lille".
Restons informés : c'est agréable de commencer l'année avec un article sur les crop circles.
Est-ce un signe des temps ou une coïncidence de plus ?
Est-ce un hasard du calendrier ou un clin d'oeil du Grand Horloger ?
En fait tout existe en fonction de notre point de vue, tout et son contraire, cela dépend de chacun.
Meilleurs voeux à tous, et que cette année nous permette de prendre de la hauteur, pour mieux comprendre et donc mieux aimer.
UmPetit courriel pour ceux qui n'ont pas le journal "La Voix du Nord, éditions de Lille".
Restons informés : c'est agréable de commencer l'année avec un article sur les crop circles.
Est-ce un signe des temps ou une coïncidence de plus ?
Est-ce un hasard du calendrier ou un clin d'oeil du Grand Horloger ?
En fait tout existe en fonction de notre point de vue, tout et son contraire, cela dépend de chacun.
Meilleurs voeux à tous, et que cette année nous permette de prendre de la hauteur, pour mieux comprendre et donc mieux aimer. 
   


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