Quel est la mission de ce site?
Demandé et répondu par Admin le 17-Feb-2007 20:20 (4847 Lectures)
Le Journal Québec-Presse se veut un site d'informations nationales québécoises et internationales. Nous sommes particulièrement intéressés à la question nationale du Québec, considérant le Québec comme l'État-nation francophone d'Amérique. L'autonomie politique tout comme l'autodétermination du Québec sont des questions existentielles qu'on ne peut dérober.
À notre avis, seul l'imposition d'un seul impôt au Québec viendra régler la question du Québec. Voilà la réponse gagnante. En contrôlant tous ses impôts et toutes ses taxes, le Québec contrôlera son destin. Qu'il soit autonomiste ou souverainiste, ce destin est le signe évolutif tant recherché par les forces progressistes, autonomistes, qu'indépendantistes.
L'enjeu politique est considérable, sinon fondamental puisque QUÉBEC-PRESSE est carrément indépendant d'esprit et de fortune de l'égo-financier des magnats de la presse dont l'idéologie, pour certains, est de contraindre la question nationale du Québec. Or, l'intérêt de cet égo-financier passe évidemment bien avant l'intérêt supérieur de la nation québécoise. Et le lecteur en est fatalement brimé.
De sorte que les éditorialistes et chroniqueurs politiques, engagés par cet égo brûlant, sont en « liberté surveillée » et doivent penser comme leur patron. Frappés d'interdit, ils doivent développer la même vision en écrivant comme eux. Un coûteux sacrifice à devoir promouvoir le Canada, au péril de faiblir et de minoriser le Québec en l'évacuant de son destin national. Au prix de la démocratie, qui, pourtant n'est pas une machination montée tout exprès.
Non que nous soyons « contre » le Canada. Au contraire, le Canada n'est pas misérable, il se développe tel qu'il est : anglophone, dans sa déviation « melting-pot » à l'américaine, c'est-à-dire ce « haut-fourneau » de toutes les cultures avec l'anglais comme langue commune. L'Amérique est faite sur mesure pour le «haut-fourneau». Ce sont les forces mêmes de l'âme américaine, la canadienne comprise. Quant au Québec, la passion est sur la voie francophone, un fait naturel aussi fragile que captivant parce que différent de «l'autre» amérique anglosaxonne.
Au Québec (comme ailleurs d'ailleurs), l'égo financier de ces magnats est sans transparence aucune. Cet égo-financier porte atteinte à la liberté de presse, une liberté qui devient relative, au gré de la couverture des événements qu'ils s'accordent de traiter. Un mal nécessaire ? Le débat peut-il nous mettre sur le bon chemin ?
Michel CLOUTIER, fondateur du Journal Québec-Presse
(M. Cloutier est journaliste d'enquête, écrivain et historien du Québec.)
À notre avis, seul l'imposition d'un seul impôt au Québec viendra régler la question du Québec. Voilà la réponse gagnante. En contrôlant tous ses impôts et toutes ses taxes, le Québec contrôlera son destin. Qu'il soit autonomiste ou souverainiste, ce destin est le signe évolutif tant recherché par les forces progressistes, autonomistes, qu'indépendantistes.
L'enjeu politique est considérable, sinon fondamental puisque QUÉBEC-PRESSE est carrément indépendant d'esprit et de fortune de l'égo-financier des magnats de la presse dont l'idéologie, pour certains, est de contraindre la question nationale du Québec. Or, l'intérêt de cet égo-financier passe évidemment bien avant l'intérêt supérieur de la nation québécoise. Et le lecteur en est fatalement brimé.
De sorte que les éditorialistes et chroniqueurs politiques, engagés par cet égo brûlant, sont en « liberté surveillée » et doivent penser comme leur patron. Frappés d'interdit, ils doivent développer la même vision en écrivant comme eux. Un coûteux sacrifice à devoir promouvoir le Canada, au péril de faiblir et de minoriser le Québec en l'évacuant de son destin national. Au prix de la démocratie, qui, pourtant n'est pas une machination montée tout exprès.
Non que nous soyons « contre » le Canada. Au contraire, le Canada n'est pas misérable, il se développe tel qu'il est : anglophone, dans sa déviation « melting-pot » à l'américaine, c'est-à-dire ce « haut-fourneau » de toutes les cultures avec l'anglais comme langue commune. L'Amérique est faite sur mesure pour le «haut-fourneau». Ce sont les forces mêmes de l'âme américaine, la canadienne comprise. Quant au Québec, la passion est sur la voie francophone, un fait naturel aussi fragile que captivant parce que différent de «l'autre» amérique anglosaxonne.
Au Québec (comme ailleurs d'ailleurs), l'égo financier de ces magnats est sans transparence aucune. Cet égo-financier porte atteinte à la liberté de presse, une liberté qui devient relative, au gré de la couverture des événements qu'ils s'accordent de traiter. Un mal nécessaire ? Le débat peut-il nous mettre sur le bon chemin ?
Michel CLOUTIER, fondateur du Journal Québec-Presse
(M. Cloutier est journaliste d'enquête, écrivain et historien du Québec.)
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