L’AMÉRO... 
La nouvelle monnaie au bout des doigts ?
L'union monétaire Canada, États-Unis et Mexique... sur papier !
L’Améro: nouvelle monnaie dès l'effondrement du dollar américain
par Michel CLOUTIER Journaliste d'enquête Journal Québec Presse
WASHINGTON — C'est déjà sur papier depuis les derniers mois : après la foudroyante "grande dépression" des années 30 aux États-Unis avec ses millions de chômeurs (photo ci-haut), voilà qu'aujourd'hui, une nouvelle monnaie s'emballe dans l'esprit des banquiers américains en complicité avec l'administration état-unienne, jusqu'à brûler les étapes sombrement évolutives de la crise monétaire actuelle en accélérant depuis Washington, la mise sur pied d'une monnaie commune, l'Améro entre trois pays, pour l'instant, soit le Canada, les États-Unis et le Mexique. 
L'Amérique latine suivrait en ligne droite, dans un angle aussi ouvert que le Canada et le Mexique. Mais le coeur et la raison n'y sont pas chez Chavez, ennemi des Américains et qui, sans radotage ne jure que par Cuba et l'idéal communiste.
UNE OUVERTURE DANGEREUSE ?
La dette extérieure américaine est en hausse constante, provoquant une instabilité financière périlleuse à travers les continents, sans parler du prix du pétrole qui dérive et s'effondre. D'une saccade à l'autre, les autorités américaines paniquent. Des rebondissements pointent à l'horizon.
Comment sauver et maintenir le dollar américain ?, se demandent-ils.
PREMIER ACTE: Dès 2005, l’administration Bush créait d'urgence le partenariat pour la sécurité et la prospérité de l’Amérique du Nord. Signe direct d'une modulation visible à la crise actuelle. 
PHOTO: Les Russes imagine déjà l'Améro ! (d'après un site iInternet russe).
DEUXIÈME ACTE: Le 6 avril 2005, le Trésor américain signale la création du Groupe de travail sur les services financiers dont le rôle critique le propulse à soutenir l'essor des initiatives économiques.
Devenant salutaire dans les circonstances, la conduite de ce Groupe de travail est influencée par le modèle de l'Union européenne dont l'Euro en est l'armature. Voilà toute l'affaire. 
Tout est rationnellement en place grâce à l'actuelle Union nord-américaine du libre échange entre les trois pays signataires (Canada, É-U. et Mexique).
Il ne reste plus qu'à introduire la monnaie commune, l'Améro pour fonder une devise sans faille et qui donnera le ton à la reprise économique, croit le Groupe de travail sur les services financiers.
Jusqu'ici, l'institut canadien-anglais "C.D. Howe" opte pour l'Améro. Au Québec, les analystes financiers issus de la Banque Nationale et du groupe Desjardins restent prudents dans leurs commentaires. Ils refusent d'en débattre ouvertement. Pour l'instant.
DEUX VISIONS : DEUX NATIONS
Tandis que l'ensemble de la classe politique et économique du Québec (État-nation francophone de 8 millions d'habitants) ne semble craindre la venue de l'Améro, cette perspective soulève toutefois l'inquiétude du Canada anglais. À tord ou à raison, on craint la main-mise des Américains sur le Canada et ses richesses naturelles. De quelle façon ? L'achat massif des grandes sociétés canadiennes. Ottawa devra s'aggripper à sa souveraineté en imposant des normes drastiques pour éviter ces changements de portefeuilles. Même que le "melting-pot" anglo-américain s'étendrait et absorberait le "melting-pot" anglo-canadien. De toutes façons, c'est depuis belle lurette que les Canadiens-anglais sont branchés sur la télé américaine dans 90 pour cent de cette population. Quant au Québec, étant francophone, son point d'honneur en Amérique, il évite évidemment un tel avalement identitaire.
Il reste que le nationalisme économique des Québécois doit les servir dans cette crise. En ce sens, la Caisse de dépôt et de placements, le bas de laine du peuple (150 milliards), devra investir davantage dans les entreprises québécoises dont elle n'injecte faiblement que 18 pour cent pour l'instant. Le reste de son programme s'endure du côté américain où elle fait profiter des entreprises qui débordent déjà leurs frontières, étendant leurs tentacules jusque chez nous, au Québec. On imagine la suite !
Une politique québécoise de nationalisme économique obligerait l'État québécois à intervenir dans les activités boursières de la Caisse. Simple comme bonjour. ------------- DOSSIER
LE "CRÉDIT SOCIAL", LE VRAI SENS DU PRÉSENT ? HISTOIRE DE JUSTICE SOCIALE AVANT TOUT
Selon Alain Pilote et Louis Even (sur www.versdemain.org) il existe trois principes de base dans le Crédit Social: 1. l'argent est émis sans dette par le gouvernement, représentant de la société, selon la production, et il est retiré de la circulation selon la consommation ( actuellement émis par des privés et avec des intérêts );
2. le dividende mensuel est versé à tous les citoyens;
3. l'escompte compensé qui rééquilibre l'ensemble. Les trois sont nécessaires; c'est comme un trépied: enlevez un de ces trois principes, et le reste ne tient plus.
Toute cette technique du Crédit Social, telle qu'expliquée très brièvement ci-dessus, n'a qu'un but: financer la production des biens qui répondent aux besoins, et financer la distribution de ces biens pour qu'ils atteignent les besoins.
En examinant la circulation du crédit sur le schéma ci-dessous, on s'apercevra que l'argent ne s'accumule en aucun temps, qu'il ne fait que suivre le mouvement de la richesse, entrant en circulation au rythme de la production, et prenant la voie du retour vers sa source (l'Office National de Crédit) au rythme de la consommation (lorsque les produits sont achetés chez le marchand).
En tout temps, l'argent demeure un reflet exact de la réalité: de l'argent apparaît lorsqu'un nouveau produit apparaît, et cet argent disparaît lorsque le produit disparaît (est consommé). Où est l'inflation là-dedans? Tout cela ouvre des horizons et possibilités insoupçonnés. Pour que ces possibilités deviennent réalités, il faut que chacun ait connaissance de la proposition des Créditistes. Selon AGNÈS PEDRERO, du journal l'Agefi en Suisse...
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| Pour commencer, l'Amero est un projet de devise commune entre le Canada, les Etats-Unis et le Mexique (au moins) qui remplacerait les 3 monnaies actuelles -- dollar compris Selon le journal suisse très influent dans les milieux bancaires, Obama pourrait en annoncer prochainement la création –
étape vers l'Uno, monnaie mondiale unique.
De plus, Norbert Walter, chef économiste de Deutsche Bank affirme: "Les structures économiques de ces pays sont capables de supporter un tel projet". vraiment ?
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----- De l'économie de marché à l'économie distributive
Proposition de transition de l'économie de marché à l'économie distributivepar Stéphane A. Barathieu Le communisme est mauvais car il accorde trop d'importance à l'égalité et pas assez à la liberté. Le capitalisme est mauvais car il accorde trop d'importance à la liberté et pas assez à la fraternité. >>
La question prioritaire, à la base de la proposition du Crédit Social, est "Comment gérer la transition entre l'économie de marché actuelle et l'économie distributive de demain ?
Et plus précisément comment effectuer cette transition dans un seul pays, sans que cela soit un handicap mais représente au contraire un avantage pour ce pays.
La solution que je propose, c'est de conserver la compatibilité avec l'économie de marché, tout en mettant en oeuvre le Crédit Social, qui a une dimension systémique globale, à la fois monétaire, fiscale et sociale, entre autre.
En voici le schéma général :
- 1) Introduction d'une nouvelle monnaie interne, dénommée le Crédit Social, en complément à la monnaie officielle, qui est valable aussi à l'étranger. Le Crédit Social est une monnaie 100% électronique, frappée d'un faible intérêt négatif.
- 2) Introduction d'une Allocation Vie universelle, identique pour chaque citoyen, quel que soit son age ou sa situation, dont les modalitès de versement sont fortement automatisées, et dont une large proportion est versée en Crédit Social. Cette allocation remplace tout système antérieur tel que le Revenu Minimum d'Insertion. L'impôt sur le revenu est supprimé dans le même temps.
- 3) La liberté de contracter en Crédit Social est totale. Nul n'est obligé d'accepter le Crédit Social en paiement, cependant toute offre faite en Crédit Social est réputée faite également en monnaie officielle.
- 4) Le Crédit Social peut être converti en monnaie officielle par le biais du crédit d'impôt, selon un certain taux.
- 5) Progressivement, après une période de rodage, l'Etat cherchera à règler ses dépenses en partie en Crédit Social, y compris pour la paie des fonctionnaires. D'autres éléments de pilotage du système sont le taux d'intérêt (négatif) sur le Crédit Social, le montant de l'Allocation Vie universelle, qui aura vocation à s'étoffer très progressivement, mais aussi l'imposition des sociétés et les droits de douane, et encore le taux de conversion du Crédit Social en monnaie légale. Il s'agit de garder le système en équilibre de façon à ce que le Crédit Social soit recherché par les sociétés, celles-ci souhaitant conquérir de nouvelles parts de marché et payer moins d'impôt.
- 6) Tout ceci est réalisable en imposant aux banques, et autres organismes financiers, la gestion 100% gratuite du Crédit Social et du versement de l'Allocation Vie universelle. Il s'agit d'une sorte d'impôt en nature, de service que les banques doivent rendre à l'Etat, une sorte de servitude, pour pouvoir exercer en conservant la licence bancaire. D'autre part, la création de monnaie par les banques par le biais du crédit doit être très vigoureusement contrôlée et encadrée, entre autre en surveillant et en modifiant, très progressivement, à la hausse, le taux de couverture par fonds propres des crédits alloués.
Pour radical que puisse sembler cette proposition, et au-delà des difficultés et de la complexité de sa mise en place, le système fonctionne pour plusieurs raisons :
- 1) La raison principale est qu'on obtient un effet de relance par la consommation, mais sans pression baissière sur la valeur de la monnaie et sans déséquilibre de la balance commerciale, car il y a un réel effet protectionniste. En effet, seules les sociétés soumises à l'impôt peuvent encaisser utilement du Crédit Social et le valoriser correctement en le convertissant en monnaie légale par le biais du crédit d'impôt. Ce protectionnisme, qui ne dit pas son nom, est la clé permettant l'introduction d'un système allant vers une économie distributive dans un seul pays, tout en restant compétitif, et au delà, sur la scène internationale.
- 2) La deuxième raison, accessoire, est que l'effet inflationniste est moindre en injectant l'argent par le bas (par le Crédit Social), que par le haut (création monétaire par le crédit bancaire), du fait d'une bien plus grande capillarité du tissu économique primairement irrigué. Je tiens pour acquis que cette notion de capillarité monétaire a été insuffisamment étudiée à ce jour.
- 3) La troisième raison est que des économies considérables sont réalisée sur les dépenses sociales, en démontant progressivement toutes sortes de dépenses ad hoc en contrepartie d'une augmentation raisonnée et progressive du montant de l'Allocation Vie universelle.
Il y aurait bien des choses à développer encore, mais l'idée générale est posée … (Stéphane A. Barathieu).
Les Rothschilds et l'apparente opposition entre capitalisme, nazisme et communisme :Vyacheslav Molotov, ministre des affaires étrangères de Russie de 1939 à 1956, disait au Dr. Hewlett Johnson, Archevêque de Canterbury, dans les années 1930: «Nous connaissons parfaitement le Crédit Social. C'est la seule théorie au monde que nous craignons.»
Jean-Paul II disait: "Ne regardez pas seulement l'épée du communisme mais la main qui tient l'épée"
Chapitre 51 – Le but ultime des Financiers: Un gouvernement mondial, avec une monnaie mondiale Seul le Crédit Social peut arrêter ce plan (Article d'Alain Pilote, paru dans Vers Demain d'août-septembre 1996.)
Le vice du système financier actuel, c'est que les banques créent l'argent sous forme de dette, chargeant un intérêt sur l'argent qu'elles créent. L'obligation pour les pays endettés de rembourser à la banque de l'argent qu'elle n'a pas créé, de l'argent qui n'existe pas, entraîne des dettes impayables. Les Financiers savent très bien que les dettes des pays sont impossibles à rembourser, que le système financier actuel est défectueux à sa base, et qu'il ne peut engendrer que crises et révolutions. Mais c'est exactement ce qu'ils souhaitent! Comme l'a écrit Clifford Hugh Douglas, le fondateur de l'école créditiste: «Le Pouvoir Monétaire ne veut pas, et n'a jamais voulu, améliorer le système monétaire; ses conséquences — guerres, sabotage et frictions sociales — sont exactement ce qui est désiré.» Pourquoi? C'est parce que les Financiers se croient les seuls à être capables de bien diriger l'humanité, et c'est afin de pouvoir imposer leur volonté sur les individus et contrôler le monde qu'ils ont inventé un tel système d'argent-dette. Ils veulent amener toutes les nations du monde dans un tel état de crise que ces pays croiront n'avoir pass d'autre choix que d'accepter la solution «miracle» des Financiers pour les «sauver» de la catastrophe: la centralisation complète, une seule monnaie mondiale et un gouvernement mondiale, où toutes les nations devront abandonner leur souveraineté. La Commission Trilatérale Il y a actuellement trois grandes régions ou blocs économiques dans le monde: l'Europe, l'Amérique du Nord, et l'Extrême-Orient (Japon, Corée du Sud, Taiwan, etc.). Sous le prétexte de devoir s'unir afin de pouvair faire compétition aux autres grands blocs économiques, les pays membres de chacun de ces trois blocs décideront de se fusionner en un seul pays, formant ainsi trois super-Etats, et alors le gouvernement mondial unique sera presque atteint. C'est exactement ce qui est en train de se passer actuellement, et c'est poussé par la «Commission Trilatérale», un organisme fondé en juillet 1973 par David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank de New-York. Le but officiel de la Commission Trilatérale est «d'harmoniser les relations politiques, économiques, sociales et culturelles entre les trois grandes régions économiques du globe» (d'où le nom de «Trilatérale»). Ce but est déjà presque atteint en Europe avec la loi sur l'Europe Unie, entrée en vigueur au début de 1993, exigeant que tous les pays membres de la Communauté Economique Européenne (C.E.E., ou Marché Commun) abolissent leurs barrières tarifaires, et laissent aux technocrates de la Commission Européenne à Bruxelles le soin de décider des politiques fiscales et monétaires de ces pays. D'ici 1999, tous ces pays d'Europe sont censés partager une seule monnaie commune, l'Euro. En ce qui concerne le bloc de l'Amérique du Nord, la fusion de ses pays membres est bien avancée avec le passage de l'ALENA (Accord de Libre-Echange Nord Américain), d'abord entre le Canada et les Etats-Unis, puis ensuite avec le Mexique. D'ici dix ans, ce traité est censé d'inclure aussi tous les pays d'Amérique Centrale et du Sud. Il existe une forte pression sur ces pays pour qu'ils harmonisent leurs politiques fiscales, tout comme en Europe, l'union économique menant inévitablement à une union politique. En face de ces deux géants économiques (l'Europe et l'Amérique), les pays de l'Extrême-Orient n'auront pas d'autre choix que de s'unir eux aussi, pour pouvoir faire compétition aux deux autres blocs dans le domaine du commerce international. Une monnaie mondiale : la «Marque de la Bête» Pour consolider leur pouvoir, les Financiers veulent aussi éliminer les monnaies nationales de chaque pays, et installer une seule monnaie mondiale. Dans les années 70, le Dr. Hanrick Eldeman, analyste en chef de la conférence du Marché Commun, dévoila à Bruxelles un plan pour mettre fin au chaos mondial: un gigantesque ordinateur auto-programmeur, occupant trois étages du siège social du Marché Commun, à Bruxelles, en Belgique. Les gens qui y travaillent appellent cet ordinateur «la Bête». Le plan implique un système de dénombrement chiffré de chaque être humain de la terre. L'ordinateur attribuerait à chaque habitant de la planète un numéro pour servir à tout achat ou vente. Ce numéro serait invisiblement tatoué par laser (ou implanté sous forme de micropuce électronique, pas plus grosse qu'un grain de riz), soit sur le font, soit sur le revers de la main. Le Dr. Eldeman ajouta qu'en se servant de trois données de six chiffres chacune, chaque habitant se verrait attribuer un numéro de carte de crédit distinct. Cela ressemble étrangement à ce que l'apôtre saint Jean décrit dans le livre de l'Apocaypse (13, 16-18): «Par ses manoeuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom. C'est ici qu'il faut de la finesse! Que l'homme doué d'esprit calcule le chiffre de la Bête, c'est un chiffre d'homme: son chiffre, c'est 666.» Les cartes de débit et la micro-puce Il y a 50 ans, avant l'invention des ordinateurs et des micro-puces, un tel système aurait pu sembler irréalisable, et relever du domaine de la science-fiction. Mais maintenant, tout le monde connaît les cartes de débit, avec lesquelles vous pouvez acheter n'importe quoi au magasin, sans avoir besoin de transporter de papier-monnaie sur vous, le montant de votre achat étant automatiquement déduit de votre compte de banque au moment de l'achat. Le but avoué des banques est d'éliminer tout l'argent liquide (les billets de banque et les pièces de monnaie), et d'obliger les gens à se servir des cartes de débit comme seul moyen de payment. Il y a toujours le risque de perdre sa carte de débit, ou que quelqu'un d'autre l'utilise illégalement. D'ailleurs, avec les cartes de débit avec micro-puce, il n'y a même pas de numéro de sécurité à composer, on n'a qu'à insérer la carte dans la machine; celui qui se fait voler sa carte peut donc se faire vider son compte de banque par n'importe qui. Alors voici qu'intervient la solution ultime: lier physiquement les gens à leur carte, ainsi il n'y aura plus aucun moyen de la perdre ou de se la faire voler! Et nous avons la situation suivante: une micro-puce électronique sera implantée sous votre peau, ou une série de six chiffres tatoués sur votre peau... tel que décrit dans l'Apocalypse de saint Jean. Tout sera alors en place pour un gouvernement qui désire contrôler les faits et gestes de tous et chacun, puisqu'il pourra tout savoir à votre sujet: tout ce que vous acheter, où et quand, qui vous téléphonez, combien d'argent vous avez, tout cela sera inscrit sur la micro-puce. Et si, pour quelque raison que ce soit, vous êtes classé par le gouvernement «indésirable» ou «ennemi de l'Etat», il n'aura qu'à effacer votre numéro de l'ordinateur central, et vous ne pourrez plus ni acheter ni vendre (et vous serez condamné, par le fait même, à disparaître à brève échéance). Selon saint Jean, ceux qui recevront cette «Marque de la Bête» devront adorer l'Antichrist, et renier le Christ. Les Illuminati Cette quête d'un gouvernement mondial existe depuis nombre d'années. Par exemple, le 17 février 1953, le financier Paul Warburg déclarait devant le Sénat américain: «Nous aurons un gouvernement mondial que vous le vouliez ou non, par conquête ou par consentement.» |
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