LES DÉMONS ME TORTURAIENT
Avant ma conversion, Les démons me torturaient car J’aimais l’argent, les plaisirs du monde et les plaisirs de la chair. Alors, j’ai été avertie que mon âme était au fond de l’abîme. Pour me sauver, Jésus d'Amour m’a demandé de m’accrocher à la pauvreté et de ne plus le faire souffrir avec ma chair.
Je me suis décidée à faire un bon examen de conscience. Il est vrai que je ne vivais pas les commandements de la loi de Dieu.
ALORS COMMENT AURAIS-JE PU ÊTRE SAUVÉE ?
Je n’observais pas le 1er commandement : « Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude. Tu n’auras pas d’autres Dieux que moi. Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux là-haut, ou sur la terre ici-bas, ou dans les eaux en dessous de la terre. Tu ne te prosterneras pas devant ces images ni ne les serviras (Ex 20, 2-5).
Il est écrit : « C’est le Seigneur, ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte » (Mt 4, 10).
Chers amis, je m’adorais moi-même physiquement (esthéticiennes, vêtements de luxe, vacances de luxe,…) et j'avais aussi beaucoup d'idôles dans le Nouvel Age derrière lequel se cache le démon.
C'est alors que Jésus d'Amour, dans son esprit de vérité, m’a dit : « Tu adores Satan. ».
SOUS L'EMPRISE DES DÉMONS
Je pratiquais la divination, l’astrologie, le spiritisme et la plupart des techniques du Nouvel Âge et j’étais même rentrée dans la secte Rose-Croix AMORC. (L'Ancien et mystique ordre de la Rose-Croix (AMORC) est mentionné dans le rapport sur les sectes N° 1687 - 10 juin 1999 - ).
Après mon repentir, Jésus d'Amour m’a dit : « Ne vends plus ton âme au diable, Ne me trahis plus mais glorifie-moi, honore-moi et loue-moi. » Alors j’ai commencé à aimer la prière de louange qui nous porte à aimer Dieu.
J'étais très déprimée pendant des années puisque je n'avais pas encore fait la rencontre avec un Dieu qui n'est qu'amour, bonté et compassion dès qu'on s'approche de lui avec respect.
Pendant longtemps je n'avais aucune relation d'amour avec le bon et doux Jésus, dans l'oraison ou l'adoration. Maintenant, je passe des heures à l'adorer en esprit et en vérité. Dieu m'a fait savoir qu'il cherchait des adorateurs fidèles.
2ème commandement — «Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur ton Dieu à faux (Ex 20, 7).
Il a été dit aux anciens : « Tu ne parjureras pas » (…) Eh bien ! moi je vous dis de ne pas jurer du tout (Mt 5, 33-34).
Chers amis, il est certain que dans ma jeunesse, j’ai prononcé plusieurs fois à faux le nom de Dieu, alors que ce nom est sacré. J’ai dû m’en confesser.
3ème commandement — « Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier. Pendant six jours tu travailleras et tu feras tout ton ouvrage : mais le septième jour est un sabbat pour le Seigneur ton Dieu. Tu n’y feras aucun ouvrage (Ex 20, 8-10).
Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat : en sorte que le Fils de l’homme est maître même du sabbat (Mc 2, 27-28).
Chers amis, le dimanche, je n’allais pas à la messe et je travaillais ce jour-là, alors que c’est un jour de repos complet.
Depuis que j'ai rencontré l'amour de Dieu, je le loue, je prie, je l'adore, j'évangélise dans plusieurs pays et je contemple la création qu'Il a faite si belle. J'aime me promener dans la nature dans laquelle je trouve une grande union à Dieu, dans un silence qui m'aide à m'unir à lui. Oui, ce jour est à notre Dieu d’Amour et de tendresse infinie.
4ème commandement — «Honore ton père et ta mère afin d’avoir longue vie sur la terre que le Seigneur ton Dieu te donne « Ex 20, 12».
Le Seigneur Jésus a Lui-même rappelé la force de « commandement de Dieu ». L’apôtre enseigne : « Enfants, obéissez à vos parents, dans le Seigneur : cela est juste. «Honore ton père et ta mère », tel est le premier commandement auquel soit attachée une promesse « Pour que tu t’en trouves bien et jouisses d’une longue vie sur la terre » (Ep 6, 1-3).
Chers amis, dans ma jeunesse, je n’ai jamais honoré mes parents, je ne leur obéissais jamais. Depuis que Jésus d'Amour est venu me chercher au plus profond de ma misère, j'ai appris à beaucoup obéir à mes parents, à aimer ma famille, à la servir et à bien m'en occuper étant donné que je la délaissais. Maintenant je suis dans la paix parfaite et dans la joie d’avoir une famille bénie de Dieu.
« JE T'AI CRÉÉE DE MES MAINS » — JÉSUS
5ème commandement — « Tu ne commettras pas de meurtre » (Ex 20, 13).
Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens : « Tu ne tueras pas. Celui qui tuera sera passible du jugement ». Et Moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère sera passible du jugement (Mt 5, 21-22).
Je vous avoue, chers amis, que je fumais deux paquets de cigarettes par jour, je prenais des drogues douces, je buvais beaucoup d’alcool, je prenais aussi la pilule et, dans ma jeunesse, je me mettais très souvent en colère.
J’ai donnais à mon corps beaucoup de poison. Là encore la confession, qui est un véritable sacrement de guérison, m’a aidée à être délivrée de cela.
Ensuite Jésus d'Amour m’a dit : « Je t’ai créée de mes mains. Respecte ton corps ».
Après m'être repentie de mes péchés, j'ai réalisé que j'avais dépensé trop d’argent en fumée, alors que cet argent aurait pu servir à nourrir les pauvres.
J’ai même amenée un jour une amie pour se faire avorter. Je ne sais pas si vous savez ce qui se passe pendant un avortement mais c’est affreux. L’embryon est déchiré.
L'AVORTEMENT EST UN MEURTRE
On lui arrache la tête, les pieds, les bras. L’avortement est un meurtre. Quand Jésus et Marie m’ont visité, j’ai pleuré et je me suis repentie et maintenant je prie tous les jours pour qu’il n’y ait plus de bébés martyrs et pour que les mamans qui ont avorté se repentent sincèrement. Je prie aussi pour que les médecins qui pratiquent l’avortement fassent pénitence.
6ème commandement —
« Tu ne commettras pas d’adultère. » (Ex.20.14)
Vous avez entendu qu’il a été dit : « Tu ne commettras pas d’adultère. » Et bien ! Moi, Je vous dis : « Quiconque regarde une femme pour la désirer a déjà commis, dans son cœur l’adultère avec elle » (Mt 5, 27-28).
Chers amis, j’ai vécu dans l’adultère qui est un péché mortel, selon le C.E.C. 1856. Quelle aurait été ma condition si j’étais morte avec un tel péché dans mon âme ? Le C.E.C 1035 nous dit :
L’enseignement de l’Eglise affirme l’existence de l’enfer et son éternité. Les âmes de ceux qui meurent en état de péché mortel descendent immédiatement après la mort dans les enfers, où elles souffrent les peines de l’enfer, « le feu éternel ». La peine principale de l’enfer consiste en la séparation éternelle d’avec Dieu en qui seul l’homme peut avoir la vie et le bonheur pour lesquels il a été créé et auxquels il aspire.
Voici mon expérience. Je m’étais mariée civilement avec un monsieur divorcé qui avait reçu un sacrement de mariage 14 ans auparavant et son épouse l'avait laissé pour un ami à lui. Toutefois pour avoir accès à la confession et à la communion, nous avons vécu en frères et sœurs séparément.
« JÉSUS M'A MONTRÉ LES DÉMONS»
Quand je me suis mariée civilement, Jésus d'Amour est venu me demander la continence et il m’a demandé réparation de mon péché. À partir de ce moment, Jésus m’a montré les démons qui entouraient mon âme et qui étaient prêts à m’emmener avec eux en enfer.
Mais Jésus d'Amour, dans sa miséricorde infinie m’a protégée. Alors j’ai suivi ce que Jésus me demandait car Jésus est venu pour sauver ceux qui étaient perdus. Vous savez qu’aucun péché n’épuisera la grande miséricorde du Seigneur et plus on y puise, plus elle augmente.
TOUS APPELÉS À ÊTRE DE GRANDS SAINTS
Ensuite Jésus d'Amour m’a dit : « Je t’appelle à la sainteté, je t’appelle à m’aimer. ». Jésus d'Amour appelle tous les grands pêcheurs à être de grands saints. Sa miséricorde infinie peut nous transformer jour après jour. Alors pour moi, a commencé un grand chemin de libération et Jésus d'Amour m’a promis qu’il me guérirait et il l’a fait. Depuis, il m’envoie dans le monde entier pour témoigner de sa bonté pour tous ceux qui reviennent à lui, qui se confessent et qui se repentent sincèrement de tous leurs péchés.
« TON PÉCHÉ EST EFFACÉ »
Vous savez quand Dieu a pardonné les péchés, après la confession, ils n’existent plus. Dieu les oublie. Dès que je me suis confessée, Dieu m’a dit : « Ton péché est effacé ».
Quand j’étais encore mariée civilement, j’ai écrit un jour au Vatican pour me renseigner des cas de nullité de mariage et le Vatican m’a dit qu’il fallait qu’il y ait une cause valable et sérieuse pour cela.
J’ai reconnu devant Dieu que je n’avais pas droit à cette nullité puisque tous les deux étaient consentants au moment du sacrement. Alors, en conscience avec Dieu, j'y renoncé à cette demande.
Cependant si j'avais fais cette demande, j'aurai dû en rendre compte à Dieu au jour du jugement, car on est tous responsable des actes que nous posons. Tout acte a une conséquence dans notre vie. Personnellement, j'ai préféré être prudente pour le salut de mon âme.
Toutefois, il y a des cas de nullité qui sont réellement valables et c'est l'église qui décide pour chaque cas.
En 1987, Jean Paul II a dénoncé le nombre excessif d’annulations de mariages : Un scandale a-t-il dit qui menace de détruire la valeur du mariage chrétien. Il a dénoncé la prolifération excessive et presque automatique des déclarations de nullité, sous le prétexte d’immaturité ou de faiblesse psychique des époux. Une véritable incapacité des époux est justifiée exclusivement par une grave anomalie touchant la capacité de compréhension et de volonté des sujets a t-il dit.
" ... J'AI DIVORCÉ "
Après deux ans de vie commune en frères et sœurs, j’ai divorcé puisque mon mariage civil n’avait aucune valeur pour Dieu étant donné que je ne pouvais pas recevoir un sacrement de mariage.
Le catéchisme de l’Église catholique 1650 nous dit que nombreux sont aujourd’hui dans bien des pays, les catholiques qui ont recours au divorce selon les lois civiles et qui contractent civilement une nouvelle union.
L’Église maintient par fidélité à la Parole de Jésus Christ « Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre commet un adultère à l’égard de la première et si une femme répudie son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère (MC 10 – 11-12) qu’elle ne peut reconnaître comme valide une nouvelle union si le premier mariage l’était.
Si les divorcés sont remariés civilement, ils se trouvent dans une situation qui contrevient objectivement à la loi de Dieu. Dès lors, ils ne peuvent pas accéder à la communion Eucharistique aussi longtemps que persiste cette situation. Pour la même raison, ils ne peuvent pas exercer certaines responsabilités ecclésiales.
La réconciliation par le sacrement de pénitence ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’alliance et de la fidélité au Christ et se sont engagés à vivre dans une continence complète.
Chers amis, pendant quelques années, j’ai vécu en concubinage avec un autre Monsieur. Je ne savais pas qu’il n’était pas permis de vivre ensemble sans avoir été mariée religieusement.
Dieu m’a aussi avertie qu’il était interdit de procréer en dehors du sacrement de mariage. Si des enfants naissent alors que les parents sont catholiques depuis leur baptême et qu’il ne se sont pas unis à l'église catholique, ce sont malheureusement les enfants qui devront porter la conséquence de la désobéissance de leur parent.
Mais là encore, la miséricorde de Dieu est infinie dans le sens où nous avons la possibilité de faire célébrer des messes de réparation de nos péchés et puis nous devrons tous répondre au jour du jugement particulier de notre âme, à l’heure de notre mort, de tous les péchés que nous aurons commis sur terre et nous verrons leur conséquence et tout le film de notre vie.
Déjà, nous allons tous voir, au moment de l'avertissement qui s'approche, l'état de notre âme et la conséquence de tous nos péchés et l’offense qu'ils ont causés à Dieu.
Chers amis, restons bien dans l'espérance en la miséricorde divine, si nous faisons célébrer beaucoup de messes pour nos âmes et si nous sommes repentis sincèrement de toutes nos fautes car Jésus ne saura rien refuser à l’âme qui se confie en lui et qui lui livre ses misères à travers un prêtre.
A chaque confession, on décloue Jésus d'amour de sa Croix. Qui pourra comprendre la grandeur d'un tel sacrement d'Amour. Dieu ne souhaite que notre délivrance, tellement qu'Il nous aime. Il nous veut tous au paradis avec lui et avec sa Sainte Mère Marie.
UN DIEU A LA PASSION JALOUSE
Dieu dit : « Je suis un Dieu à la passion jalouse, qui fait rendre des comptes aux fils pour la faute des pères, jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me détestent ; mais qui agit avec fidélité jusqu’à la millième génération envers ceux qui m’aiment et qui observent mes commandements. (exode 34, 7).
Par la grâce des cœurs unis, les effets maléfiques d’une malédiction peuvent être neutralisés. Que de fois se manifestent chez les enfants des troubles inexplicables ; crises psychiques, physiques, troubles nocturnes !
Rarement, l’on établit une relation avec les conséquences des péchés commis par des générations antérieures et qui se répercutent sur leurs descendants.
Cependant, certains furent témoins dans leur propre famille des effets salutaires exercés par la prière d’offrande sur de tels maux héréditaires. Voici cette belle prière.
PRIERE AUX CŒURS UNIS DE JESUS ET DE MARIE
Père éternel, avec confiance, je vous offre les Cœurs Unis de Jésus et de Marie, les plaies victorieuses et sanglantes de Jésus et les larmes de Marie, notre Mère du ciel. Seigneur, que votre volonté soit faite !
Ensuite, pour recevoir des bénédictions, il faut souvent se consacrer aux cœurs unis de Jésus et de Marie de la manière suivante (si possible tous les jours) (et vivre en état de grâce) :
« Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Père éternel, vous avez reçu la plus haute gloire des Cœurs de Jésus et de Marie. Votre Divin Fils, devenu homme, a, en union avec sa Mère, parfaitement accompli votre Volonté en Esprit d’expiation aimante. Nous vous offrons à nouveau cette louange pour que vous nous bénissiez et nous guérissiez par ces Saints Cœurs, et également pour que vous nous envoyiez l’Esprit-Saint qui renouvellera la face de la terre.
Divin Rédempteur, nous reconnaissons que vous êtes le Fils du Père éternel, le seul Médiateur entre Dieu et l’homme. Conformément à la Volonté du Père éternel, vous avez associé votre Sainte Mère à votre mission, à titre de Médiatrice et de Corédemptrice.
Dans un esprit de vive confiance nous nous consacrons (notre famille, notre communauté…) aux Cœurs Unis de Jésus et de Marie, afin de tirer profit de votre promesse et pour obtenir l’unité dans la charité.
Nous nous engageons à vivre nous-mêmes dans l’esprit des Cœurs de Jésus et de Marie, et à contribuer à ce que les demandes contenues dans la prière que vous nous avez enseignée puissent se réaliser.
Partout où notre influence peut s’exercer, nous nous efforcerons de faire honorer le Nom de Dieu, d’établir le Règne de Dieu parmi nous et de tout accomplir selon votre divine Volonté. Alors Dieu bénira aussi la terre et le pain quotidien pour tous.
Vous nous pardonnerez nos péchés et inclinerez nos cœurs à la paix. Miséricordieusement, vous nous préserverez de nouvelles fautes et, enfin, vous nous délivrerez de tout mal.
Lorsque nous aurons ainsi la joie de constater que, par l’intercession de Marie, vous nous aurez secourus, comme vous avez opéré votre premier miracle à Cana sur son intervention et en union avec la Volonté du Père, alors toute la terre se joindra à l’Eglise pour reprendre la salutation de l’ange et prier : Je vous salue, Marie…
Mus par une absolue confiance, scellons l’alliance avec la plus grande puissance de l’Amour sans jamais la rompre. Seigneur, guidez-nous tous les jours de notre vie par votre Esprit-Saint jusqu’à ce que nous nous présentions à la porte de la Patrie céleste. Amen. ».
Chers amis, la grâce liée au culte des Cœurs Unis de Jésus et de Marie rompt les lois de la nature et
les prédispositions héréditaires. Faisons donc confiance à Dieu.
LE PRÉCIEUX SANG VERSÉ SUR LA CROIX
Certains prêtres commencent à accepter de célébrer des messes pour la guérison de l’arbre généalogique. Dieu le Père pardonne nos péchés grâce au précieux sang versé par Jésus sur la croix. Si Jésus a réparé tous nos péchés, nous aussi devons accepter de réparer les nôtres sur terre.
Si on n’accepte pas de les réparer sur terre, par amour pour le tendre et doux Jésus qui a tant souffert sur la croix pour nous sauver, on devra passer quelque temps dans le feu d'amour du purgatoire et Dieu a permis que je voit les flammes du purgatoire qui sont terribles. Un feu dévorant, mais un feu d'Amour infini dans lequel les âmes se purifient avant de voir Dieu face à face. Leur plus grande souffrance est d'être séparées de Dieu. Elles ne peuvent rien faire pour leur propre délivrance mais nous, nous pouvons tout pour elles. C'est pourquoi le ciel nous demande de faire célébrer beaucoup de messes pour qu'elles puissent entrer dans le paradis le plus rapidement possible.
On peut aussi puiser dans le trésor de l'église toutes les indulgences et les offrir pour elles.
Qu’est ce que l’indulgence ? L’indulgence est la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà effacée, rémission que le fidèle bien disposé obtient à certaines dispositions déterminées, par l’action de l’église, laquelle, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue et applique par son autorité le trésor des satisfactions du Christ et des saints. »
L’indulgence est partielle ou pleinière, selon qu’elle libère partiellement ou totalement de la peine temporelle due pour le péché. »
« Tout fidèle peut gagner des indulgences pour soi-même ou les appliquer aux défunts ».(C.E.C. 1471)
On peut aussi prier le saint Rosaire. Les saintes âmes du purgatoire qui sont très chères à Dieu, comme nous le sommes tous sur terre, demandent cette prière pour leur délivrance et en retour elles prient beaucoup pour nous et elles intercèdent auprès de Jésus d'Amour pour nous. C'est alors que nous obtenons beaucoup de grâces dans notre vie, grâce aux prières qu'elles adressent à Dieu pour nous.
Personnellement, j'offre tous les jours le chemin de croix pour elles et je me rappelle qu'un jour Jésus d'Amour m'a demandé de continuer cette oeuvre de miséricorde.
7ème commandement — « Tu ne commettras pas de vol. » (Ex 20, 15).
Tu ne voleras pas (Mt 19, 18).
Le septième commandement défend de prendre ou de retenir le bien du prochain injustement et de faire du tort au prochain en ses biens de quelque manière que ce soit. Il prescrit la justice et la charité dans la gestion des biens terrestres et des fruits du travail des hommes. Il demande en vue du bien commun le respect de la destination universelle des biens et du droit de propriété privée. La vie chrétienne s’efforce d’ordonner à Dieu et à la charité fraternelle les biens de ce monde. (C.E.C. 2401)
Seul Jésus d'Amour m’a guérie, pendant mon adolescence, de l'envie de m’approprier beaucoup de choses qui n’étaient pas miennes.
8e commandement — « Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain. » (Ex 20, 16).
Il a été dit aux anciens : « Tu ne parjureras pas, mais tu t’acquitteras envers le Seigneur de tes serments ». (Mt 5, 33).
Le huitième commandement interdit de travestir la vérité dans les relations avec autrui. Cette prescription morale découle de la vocation du peuple saint à être témoin de son Dieu qui est et qui veut la vérité. Les offenses à la vérité expriment, par des paroles ou des actes, un refus de s’engager dans la rectitude morale : elles sont des infidélités foncières à Dieu, et en ce sens, sapent les bases de l’alliance.
Je reconnais je n’arrivais pas à tenir les promesses que j’avais faites à Dieu, c'est-à-dire de vivre la chasteté après ma conversion.
Je voulais me marier religieusement, mais j’étais tenue par une promesse que j’avais faite à Dieu et Dieu n’oublie jamais ce qu’on lui dit un jour. Sans Sa grâce quotidienne, je ne pourrais pas tenir mes promesses car la solitude me pèse. Toutefois, si je ne respecte pas mes promesses, je ne rentrerai jamais au paradis car Dieu m'a dit qu'il haïssait l'infidélité. Un jour, la sainte vierge Marie est gentiment venue me rappeler qu’il fallait que j’observe ce que j’avais promis à Dieu.
9e commandement — «Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain». « Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, rien de ce qui est à ton prochain (Ex 20, 17).
Quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà commis dans son cœur l’adultère avec elle (Mt 5, 28).
Je peux vous dire que j’enviais les biens matériels. D’ailleurs, avant ma rencontre avec Jésus d'Amour, je ne vivais que pour l’argent et non pour l’amour. Maintenant, je ne vis que d'Amour pour le salut des âmes et je parts dans le monde entier pour évangéliser par amour pour mon tendre Jésus.
10e commandement — « Tu ne convoiteras(…) rien de ce qui est à ton prochain (Ex 20, 17). Tu ne désireras ni sa maison, si son champ, si son serviteur ou sa servante, ni son bœuf ou son âne : rien de ce qui est à lui (Dt 5, 21).
Là où est ton trésor, là sera ton cœur (Mt 6, 21).
Le dixième commandement dédouble et complète le neuvième, qui porte sur la concupiscence de la chair. Il interdit la convoitise du bien d’autrui, racine du vol, de la rapine et de la fraude, que proscrit le septième commandement.
La « convoitise des yeux » (1 Jn 2, 16) conduit à la violence et à l’injustice défendues par le cinquième précepte . La cupidité trouve son origine, comme la fornication, dans l’idôlatrie prohibée dans les trois premières prescriptions de la loi.
Le dixième commandement porte sur l’intention du cœur : Il résume, avec le neuvième, tous les préceptes de la loi. (C.E.C. 2534).
Il m’est arrivé plusieurs fois avant ma conversion de regarder et de vouloir le mari des autres, mais Jésus m’a appris à me repentir, à baisser le regard et à fuir les hommes. Cependant, je suis tombée avec beaucoup d’hommes. C’est pourquoi mon âme était enfermée dans la Bête. Jésus m’en a montré la vision en 1997, juste avant la Noël et il m’a demandé d’accepter ma pénitence. Je sais que j’aurais beaucoup de comptes à rendre car Dieu me l’a fait savoir, mais Dieu attend aussi que je lui donne beaucoup d’amour.
LA SUITE AU 2E TEXTE DE FABIENNE GUERRÉRO,
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